Vos idées : Fics

[KorHosik]

Whaou, pas mal du tout ! Très bien écrit, des ptits références bien maîtrisées, de l'humour bien placé. J'aime beaucoup !

Je n'aime pas spécialement les histoires gays mais bon ça reste très soft dans cette partie. Cela dit, si ça va beaucoup plus loin dans les suivantes il serait ptet bon de les mettre en spoiler (on a quand même de jeunes visiteurs sur MU. Même si mettre en spoiler n'est pas une protection très efficace, ça aura le mérite d'être fait, pour la forme ).

Enfin bref, c'est excellent, tu as un nouveau fan .

[Dr.BMBF]

Justement, y a tout un chapitre en spoil.

[Loque]

J'aime bien ton histoire, elle est vraiment bien!
Ca m'a vraiment fait rire et tout...Non mais vraiment, elle est cool ton histoire.
Où tu trouves ces idées?




PS:J'ai pas trop justifié mais je sais pas trop
comment expliquer...

[Eboorifée]

Effectivement,c'est une histoire très inattendue et intéressante ! J'aurais jamais pensé à un tel couple, ça promet =] !
Sinon, c'est vrai que tu as un bon style et tu arrives bien retransmettre les sentiments et à faire de l'humour, bravo et vivement la suite =D

[Desmu]

Chapitre 20

Un son étrange se fait entendre, comme sorti d'un instrument de musique. Une mélodie lente au piano suit. Entêtante, facile à mémoriser. Puis des notes électroniques, puis des rythmes. Cela ressemble un peu à la musique qu'écoute Marc, en moins violent.
Des points de lumière se dessinent dans un fond noir total, sur le rythme des notes jouées, soudainement sourdes, puis revenant à un niveau normal. Ces points forment un planisphère, décrivant les côtes terrestres en rayons lumineux. Puis il commence à défiler devant mes yeux, à se tordre. Les points s'intensifient avec certaines notes.
Puis la carte se forme en un globe, sur la mélodie jouée au synthétiseur. Les couleurs sombres du monde s'affichent, je crois voir un véritable globe terrestre sans nuages tourner devant moi, la musique devient plus intense. Soudain, je me retrouve à voyager à quelques kilomètres de la surface de ce globe. Je vois des paysages de nuit, de l'Europe, de l'Asie, de l'Afrique... comme si je volais.
La musique change de tonalité, la mélodie se tait, et des notes plus oppressantes se font entendre. Je suis maintenant dans un amas de nuages, toujours en mouvement, comme volant à l'intérieur. Des éclairs se forment avec les notes. J'ai l'impression d'être dans un tourbillon. Les notes sont toujours plus dures, les éclairs sont en rythme et plus nombreux. Je redescends, et constate qu'ils s'abattent par milliers à la seconde sur les paysages vu tout à l'heure.
La musique est soudain jouée sur un clavecin, je constate un désastre sur Terre, tout s'enflamme au fur et à mesure. Puis la mélodie est rejouée plus calmement, avec plusieurs synthétiseurs l’accompagnant, jouant de manière plus anarchique, mais toujours plus mélodieuse. Je suis à nouveau happé au-dessus des nuages, qui se dispersent peu à peu, comme aspirés sur Terre par les éclairs, se déchaînant au rythme de la musique, encore plus dur. Ils cessent, je revois le globe dans son ensemble, complètement en feu, la musique est stressante.
Une voix se fait entendre, je n'en comprends pas les mots. Je constate une série d'explosions à la surface de ce globe, toujours en rythme avec la musique, angoissante. Puis je vois la Lune, comme si elle se décrochait de son orbite, et fonçait sur la Terre. Quelques sons persistent de cette musique, avant qu'elle ne reprenne de plus belle, la mélodie presque marginalisée. Une ombre géante se prolifère à la surface de la Terre, celle de la Lune. La musique paraît soudainement ''scratchée'', et le satellite percute sa planète à ce moment. La musique panique. Le globe implose littéralement, certains de ses morceaux ont plongé dans son noyau, maintenant apparent. Je m'éloigne, et la musique s'affaiblit.
Soudain, je vois Obero. À sa surface jubilent des Migono. J'entends un solo de guitare électrique plutôt puissant accompagner cette fichue mélodie au synthé. L'ensemble est plutôt lent et triste. Les Migono se réjouissent devant la vision d'apocalypse offerte. Puis j'arrive au-dessus d'Anuva, où les Mikava s'affolent devant cette même vision. La musique et tous ses instruments retiennent une même note, et je vois une horde de Migono foncer vers Anuva en jet-pack, lames dégainées. Les Mikava s'arment à leur tour et résistent tant bien que mal à l'assaut surprise. Mais rapidement, il se trouve que les orangés sont bien plus forts que mes collègues. J'assiste à la scène en témoin inactif, à un massacre général de Mikava. Jonchent également des Migono au sol, mais très peu. La musique décrit plutôt bien l'ensemble : épique mais affreux.
Je vois le sommet de l'académie. Un Mikava blanc défie à la lame un Migono noir, je déduis que c'est un combat entre Maradu et Feltro. Le solo de guitare s'accélère. Les deux bretteurs sont de talent. Les instruments s'emballent, les coups sont donnés à une rapidité démente. Mais Feltro transperce Maradu de part en part à l'aide de son arme, celui-ci chute et s'écrase contre le toit du niveau vert. La musique va crescendo, je suis propulsé hors de la zone, qui n'est plus qu'un point lumineux disparaissant dans l'ombre infinie. Les instruments se taisent. Il n'y a plus rien.

J'allume brusquement la lumière. Mon lit adoptif est trempé de sueur. Je comprends. C'était un cauchemar, affreusement réaliste.
Je me lève vers huit heures et me dirige vers mon ancien domicile, pour creuser la tombe de mon père. Toujours en larmes, je peine à l'effort, mais je ne peux le laisser ainsi. Marc arrive, un nouveau cercueil avec lui. Il me laisse seul me recueillir devant les trois membres de ma famille, les seuls que j'aie connu. On ne m'a jamais parlé de possibles oncles, tantes, grands-parents. Sans Marc et sa famille pour m'héberger, je n'ai aucun autre endroit où aller. Je ne peux pourtant pas rester éternellement chez eux, abuser de leur hospitalité. Cela ne les gène peut-être pas, mais moi si. Je n'ai pas d'autre choix que de l'accepter.

Un jour, Marc se précipite vers moi dans la rue.
« Tu tombes bien, viens vite, il y a trois Migono qui circulent dans la rue à côté ! Y'a personne en plus, on peut se changer discrètement. »
En effet, je vois à mon tour deux Migono sombres accompagner un Migono conventionnel. Nous allons à leur rencontre en armure Mikava, lames en évidence. Le Migono conventionnel se dénomme Perebro et paraît surpris de nous voir.
« Tiens ! Ardamu ! Tu circules par là toi aussi ?
- Euh... on se connaît ?
- … table ! HA HA HA !
- Non, pas toi.
- Si, moi.
- Dis, Ardamu, et si tu m'expliquais ?
- Ce guignol est Garatu, ton prédécesseur parmi les élèves de Sarantu. Porté disparu depuis plusieurs semaines, il semblerait qu'on l'ait retrouvé. Reconnaissable entre mille à cause de blagues idiotes qui lui ont donné une sale réputation.
- Chouette, et les deux fantômes à côté, tu les connais aussi ?
Garatu nous coupe.
- Ce sont deux nouveautés. Après la mort de Belto, Feltro a jugé qu'un Migono seul cumule difficilement les fonctions de guerrier et de recruteur. Mes deux collègues ici présents peuvent se battre, mais sont plutôt spécialisés pour influencer les autres. Ils ne sont pas humains initialement, n'ont pas de pseudonyme de Migono et peuvent se téléporter facilement s'ils sont menacés. Ce sont des créatures de cauchemar produites à la chaîne pouvant apparaître aux yeux de tous les Hommes pour les déprimer et les rallier à notre cause, s'ils ne se donnent pas la mort avant. Mais d'après les rapports, je crois savoir que tu sais déjà ça, Ardamu.
- Je t'emmerde.
- Des insultes ? Intéressant. Je crois que tu voues une haine trop importante envers les Migono pour les rallier. Il faudra donc te tuer. Si ton ami est fidèle, il te rejoindra. »
Les toges noires révèlent des armures aux reflets violets. Les trois Migono dégainent et se tiennent prêts pour le combat.

[Seriugh]

Le cauchemar est un peu long, mais la description est intéressante, ça fait vraiment rêve quoi. Pas énormément d'action du coup, mais le prochain j'imagine que ça va compenser vu comment ça se termine Très bon épisode, je suis toujours aussi pressé de lire la suite que d'habitude

[viode]

Moi c'est ma 1ère fic. J'espère que vous allez aimer:
Mario et Luigi: Les 2 plombiers sauveurs de princesses!
Chap. 1: Tous ce passait bien quand...

Mario er Luigi, était pour une fois, en train de travailler dans la tuyauterie du Royaume Champignon. Ils urent finis de travailler à 23h54. Ils ressortirent de leurs tuyaus puis se dirigèrent vers le Château de Peach. C'est alors que survînt un gros (et moche) lézard géant. S'engagea alors la discussion entre les 3:
Mario:-Ça ne fait pas la 452ème fois qu'on se voit?
Bowser:-Si et je viens kidnapper la Princesse Peach!! *Rire maléfique*J'ai préparé un plan diabolique. J'ai déjà envoyé mes sbires (eh oui, ca fait classe) détruire le château!! Et je suis là pour vous empêchez de revenir foutre tous mes plans en l'air!!
S'engagea alors un combat terrible entre Mario et Bowser. Bowser crachait toujours ses boules de feux tandis que Mario ne faisait que sauter. C'est alors que Luigi comprit qu'il servit enfin à quelque chose.
Luigi:-Mais oui! Pendant qu'ils se battent, je peux aller me barrer sauver la Princesse Peach! Je suis aussi intelligent que mon frère dis donc!
C'est alors que Luigi s'enfuit vers le Château de le princesse Peach.
Bowser:-Oh non! J'avais oublié l'autre!
C'est alors, que Mario, profita du moment de déconcentration de Bowser pour lui sauter sur sa tête. Bowser était enfin dans les pommes. Mario courit enfin rejoindre son frère, ce qui fut très rapide. C'est alors qu'à 00h35, les deux arrivèrent devant le Château. Le Château était à moitié détruit. C'est alors qu'ils entendirent Kamek sur son balai avec Peach qui s'était fait capturer dans un filet:
Kamek:-Ahahahaha!!! Vous vous aites fait avoir bande d'imbéciles!!
Peach:-Mario...
Luigi:-Moi aussi j'existe!!
Peach:-...et Luigi, venez me sauver!!!
C'est alors que Kamek et tous les autres sbires de Bowser s'en allèrent...

J'espère qu'il était pas trop court...

[fei]

Hum, par quel point commencer... Euh oui, c'est bien trop court , il faut développer plus, un chapitre est bien plus long que ça.
Et tu fais des fautes d'ortho/grammaire/conjugaison aussi, par exemple "Mario er Luigi" au lieu de "Mario et Luigi", "ils urent finis" au lieu de "ils eûrent fini", tuyau au pluriel c'est tuyaux mais pas tuyaus, "vous empêchez" au lieu de "vous empêcher" (même si il y a vous c'est un groupe infinitif), "vous vous aites" au lieu de "vous vous êtes"...

Et d'ailleurs, vu le type de discours que tu emploies, il n'y a normalement pas de tirets.

Bon courage !

[Loque]

C'est vrai que tu fais des fautes d'orthographe et qu'un chapitre, c'est bien plus long que ça mais bon,
c'est pas grave, tu t'y es risqué.J'espère que le prochain chapitre sera mieux mais bon courage!



Edit:j'ai jamais fait de fics mais bon, hein!

[viode]

Il y a quelques fautes de frape mais c'est vrai qu'il y a certaines erreurs qui sont très bêtes... Je vais faire mieux la prochaine fois. Enfin j'espère... Par contre, vous pouvez me critiquer sur le contenu el lui-même de mon chapitre (à part les fautes d'ortographe) parce que sinon je ne pourrais pas faire des chapitres beaucoup mieux...

Ps: Je travaille sur le prochain chapitre, et je vais travailler sur la longueur du chapitre.

[Loque]

Je vais peut-être bientôt mettre une fic maisn je promets rien.
Je travaille là dessus, j'ai déjà ma petite idée.

viode: Quand tu fais parler quelqu'un, tu mets soit le tiret- soit les points : mais
pas les deux en même temps, je croiais que tu faisais un smiley.

[fei]

Et d'ailleurs, vu le type de discours que tu emploies, il n'y a normalement pas de tirets.

C'est ce que j'ai dit Mouhihi !

Et le contenu, bon, ça me va en tout cas, mais je crois que ça débute un peu fort, mais ce n'est pas grave. Il faut que tu enlèves c'est fautes d'ortho surtout, parce'que ça gâche tout . Et pour la longueur du chapitre, je te conseille de "fusionner" les deux premiers chapitres. (Mais on va déjà attendre que ton chapitre sorte ).

Bon courage !

[viode]

Pour moi, le premier chapitre est une sorte de test. Si ton premier chapitre est nul, tout sera nul, mais si il est très bien, tout le reste sera bien...

Sherlock: Je sais... Ca fait une sorte de smiley... Mais c'était fait exprès!!!

[fei]

Non, tu ne peux pas faire comme cela, c'est une faute de syntaxe de dialogue et de discours, exprès ou pas, ça ne sera pas accepté ... sauf exception.
Et sinon, je suis un peu d'accord pour ton truc, essaye de mettre plus d'originalité à ton fic, afin que les lecteurs aient plaisir de la lire !

Bon courage !

[Luigi 2]

Viode, ton premier chapitre comporte beaucoup de fautes déjà.
Je sais que tu n'as que 11 ans, mais Word peut corriger la plupart de tes fautes.

Ensuite, il y a le problème entre les tirets qui ne peuvent pas être présents s'il y a déjà les noms des personnages, comme l'a fait remarquer fei (et sherlock303 dans un second temps).

Et je trouve que les chiffres sont trop précis comme 23h54 ou 00h35.

Et je ne sais pas si c'est une faute, mais dans ton titre, "princesses" est au pluriel, donc il y aura plusieurs princesses à sauver ? (à moins que la construction de la phrase fait que "princesse" est obligatoirement au pluriel mais ça, je ne sais pas).


Voilà, je critique car tu le demandes, mais si tu corriges des fautes et fais des chapitres plus aboutis, tout ira bien (d'ailleurs, tu as déjà quelques lecteurs).

[viode]

Dans le titre, "princesses", il y a un "s" exprès car c'est leurs job aux deux... Non, je rigole, c'est une faute... Je vais corriger ça.

[Loque]

Désolé, fei, j'avais oublié que tu l'avais déjà dit.
Bon, j'ai essayé de faire une fic, originale, j'espère quelle vous paira.

Spoiler :

Chapitre 1
Voilà, Mario avait encore sauvé Peach, ils étaient heureux. Mais voilà, il s’ennuyait. Vous penserez tout de suite que c’était Luigi, eh bien non. Mais qui est-ce ? Il voulait juste une peu plus d’action : Bowser capture Peach, Mario la sauve, Bowser va à l’hôpital, et lui doit arrêter Mario .Mais Mario lui passe sous son nez et quand Bowser revient de l’hôpital, il lui crie dessus. Il désirait voir un PSY, oui, oui, un PSY. Il alla donc à Champiville, un jour que Bowser était à l’infirmerie. A Champiville, dur, dur de s’y repérer. Pas de Kamek pour faire la loi. Tous les toads le regardaient bizarrement. Il faillit tuer un toad quand il lui disait qu’il n’avait rien à faire ici. Il entra donc chez le psychologue.
-Bonjour, monsieur, je suis …
-Oui, je sais répondit le toad. Vous avez failli tuer mon ami.
-Vous le savez déjà ?
-Oui, c’est passé sur Champichaîne. Venez, venez il ne faut pas que l’on voie que j’ai des clients comme vous. Bon, vous venez, oui ?
Il entra, et comme d’habitude, le toad le regarda avec méfiance. Au moment où il lui demanda ses problèmes, il eut un frisson. Il lui raconta toute son histoire.
<<-Voilà votre histoire ? Ben dites-donc, elle était longue.
-Vous me conseillez quoi ?
-De revenir me voir dès que possible.
-Pourquoi ?
-Car j’ai une longue file d’attente. Et sortez par derrière. >>
Il sortit par derrière et réfléchit. Et s’il ne revenait pas ? Et s’il restait ici, à Champiville ? Il resterait ici. Il ne reviendrait pas. Vers le soir, quelqu’un l’interpela.

Bon, voilà c'est ma première fic, si ça vous plaît, je ferais le 2° chapitre et j'ai déjà une idée.
Vous me direz mes erreurs pour que je me corrige.


Ps: Bon d'accord, un PSY dans le monde de Mario...
Je savais pas ce que j'avais en tête ce jour là.

[Nécrospectrus]

Sherlock, tu pourrais nous poster le premier chapitre ?
Parce que là, avec le premier paragraphe, ou le synopsis, c'est difficile de juger.

[Loque]

Désolé, mais je sais même pas si je vais en mettre un deuxième alors bon...
Mais si vous voulez, il faudra que je trouve un titre pour le premier chapitre,alors.
(Et pour le deuxième peut-être...)
EDIT:Désolé si premier chapitre n'est pas long, les prochains le seront plus.

[aaaaetcon]

Voilà, je poste la mienne.

Dan Martin Détective

AVANT TOUTE CHOSE : Dan Martin Détective, je l’ai choisi car, dans ma classe de CM2, on travaille sur ce personnage qui me plait beaucoup.
C'est ma première fic, donc elle risque d'être un peu nulle.

Spoiler :

1. Le cambriolage chez Pam

Un jour, Pam, que Dan connaissait de vue, arriva dans son bureau, sans même qu’il lui dise d’entrer.
Pam : Dan ! Dan ! J’ai été cambriolée, pouvez m’aider, s‘il vous plait ?
Dan : Calmez-vous ! Alors, que s’est-il passé ?
Pam : Bah ! Je viens juste de vous le dire : j’ai été cambriolée et je viens pour que vous m’aidiez !
Dan : Bien, nous allons chercher des indices du voleur.
Arrivés chez Pam, Dan trouva un couteau.
Dan : Tiens, on dirait le couteau de mon ami Patapouf.
Pam : Patapouf ?! Comment a-t-il pu faire une telle chose ?!
Un peu plus loin, il y avait une paire de gant, ou sur une étiquette, il y avait marqué <<Sami>>
Dan : Sami ? C’est qui, celui-ci ?
Pam : Je ne sais pas !
A proximité, un papier était collé la table de la cuisine, sans doute tombé de la poche du voleur. Sur ce petit papier, il y avait marqué <<723 Terrasses des Neiges bourguignonnes>>.
Dan : Cette adresse est celle d’une vielle maison où certains voleurs se sont réfugiés, et certains de ces voleurs, ont été retrouvés dans cette fameuse maison. Pour couronner le tout, cette maison est dans la ville voisine.
Pam : Ah ! Je connais un vieil ami qui habitait cette maison avant d’être abandonnée, maintenant, il habite...
Dan : Euh… Sans vouloir vous déranger ou choquer, on s’en fiche !
Pam : Oups ! Excusez-moi ! Je suis une vraie pipelette, moi !
Alors ils se sont rendus vers cette vielle maison, et là, il y avait plein d’jets volés : de l’argent d’une banque, des bijoux, des tableaux de musées… D’un coup, un coffre tombe. Ce coffre refermait l’argent de la banque et les bijoux volés.
Dan : Ouf ! J’ai frôlé la mort, à cause de ce satané coffre. Mais j‘y pense, ils ont été en groupe, s’il y a Patapouf et ce mystérieux Sami.
D’un coup, Dan troue une liasse de billets de 200€. Sur un des billets, il y avait un Post-it. <<Chez Patapouf>> était inscrit sur le ridicule papier collant.
Dan : Il n y a plus qu’une chose à faire, c’est aller chez Patapouf !

**Après un long chemin:

Dan et Pam affirmèrent que seuls les enfants de Patapouf et l’enfant de Sami étaient seuls avec une baby-sitter. Heureusement, la baby-sitter faisait une sieste
Dan : Ou sont vos pères ?!
L’enfant de Patapouf, devant la télé à ne rien faire (sauf à manger des barres de chocolat) et non intéressé : Moi, mon père m’a dit qu’il allait rendre visite à quelqu’un.
L’enfant de Sami, plongé dans le jeu Super Mario 64 : Moi, il m’a dit qu’il allait préparer un loto de la ville voisine… Oh oui ! J’ai battu le roi Bob-omb, c’est un miracle …!
Dan qui bredouille : Ah bah, bravo ! Il faudra encore qu’on aille dans la ville ou on était tout à l’heure... Avec la maison des voleurs
L’enfant de Sami: Ah non ! C’est pas dans c’te ville, c’est celle qu’est à l’opposé ! Hop ! Tué, l’Goomba !
Dan : Ouf ! Economies de carburant !
En cours de route, Dan croisa la voiture de Sami, avec le coffre qui se ferme quasiment pas. La voiture accéléra alors et pris un chemin de terre. Mais le truc que Sami ne savait pas, c’est que ce chemin ramenait à la route nationale, que le détective avait prise. Il en profita pour arrêter Sami.
Sami : Q… Qu… Qui êtes-vous ? J… Je n’ai rien fait pour que vous m’arrêtiez !
Pam : Et mon cambriolage de chez moi ?
Sami : Quel cambriolage ?
Dan : Avouez !
Sami : Mais non je n’ai rien fait !
Pam : J’ai une preuve qu’il m’a cambriolé ! Mon collant ultra rare est dans sa voiture
Sami : J’avoue j’ai cambriolé cette dame.

**Après une longue discussion interminable :

Patapouf arrive et se fait arrêter par Dan
Patapouf : Qu’est que j’ai fait pour que tu m’arrêtes ?
Dan : Tu as cambriolé Pam et il y a ton couteau !
Patapouf : S’il y a mon couteau, c’est parce que j’étais là chez elle et que je l’ai oublié !
Dan : Pam, est-ce que c’est vrai ?
Pam : Oui !
Dan : Conclusion : Sami a été le seul cabrioleur !
Sami : J’ai été accompagné par un ami !
Dan : Bon, bah voilà, l’affaire est résolue !
L’affaire s’est résolue et il n’y eut plus de crimes pendant un petit bout de temps.

La deuxième histoire est à venir

J'espère qu'elle est bien car j'y travaile dessus depuis un moment .