Spoiler :
Georges est allé rendre visite à son voisin japonais qui a eu un grave accident de voiture.
En arrivant à sa chambre d'hôpital, il trouve son voisin avec plein de tuyaux, plâtré, bref une momie complète...
Le japonais ne pouvait pas bouger, seulement les yeux étaient visibles et il semblait dormir.
Georges reste en silence à côté du lit en observant l'état de son voisin....
D'un seul coup, le japonais ouvre grand les yeux, presque exorbités, et cria: '
- SAKARO AOTA NAKAMY ANYOBASUSHI MASHUTA !!! '
Le japonais expira et mourut.
Les dernières paroles du japonais restèrent gravées dans la tête de Georges.
Le jour de l'enterrement, Georges s'approche de la veuve et de la mère du japonais et leur dit : "Toutes mes condoléances !..."
Il les embrassa toutes les deux et leur dit que juste avant de mourir, il lui avait crié ces dernières paroles : "SAKARO AOTA NAKAMY ANYOBASUSHI MASHUTA !!!", et il leur demande ce que ça voulait dire...
La mère tomba dans les pommes et la veuve très surprise le regarda fixement.
Georges insista : "Mais...Qu'est-ce que ça voulait dire ?"
- TU MARCHES SUR MON TUYAU D'OXYGÈNE, ABRUTI !
En arrivant à sa chambre d'hôpital, il trouve son voisin avec plein de tuyaux, plâtré, bref une momie complète...
Le japonais ne pouvait pas bouger, seulement les yeux étaient visibles et il semblait dormir.
Georges reste en silence à côté du lit en observant l'état de son voisin....
D'un seul coup, le japonais ouvre grand les yeux, presque exorbités, et cria: '
- SAKARO AOTA NAKAMY ANYOBASUSHI MASHUTA !!! '
Le japonais expira et mourut.
Les dernières paroles du japonais restèrent gravées dans la tête de Georges.
Le jour de l'enterrement, Georges s'approche de la veuve et de la mère du japonais et leur dit : "Toutes mes condoléances !..."
Il les embrassa toutes les deux et leur dit que juste avant de mourir, il lui avait crié ces dernières paroles : "SAKARO AOTA NAKAMY ANYOBASUSHI MASHUTA !!!", et il leur demande ce que ça voulait dire...
La mère tomba dans les pommes et la veuve très surprise le regarda fixement.
Georges insista : "Mais...Qu'est-ce que ça voulait dire ?"
- TU MARCHES SUR MON TUYAU D'OXYGÈNE, ABRUTI !