Vos tests !

[Alcalime]

Complètement d'accord...Surtout que le jeu est super dur au début comme dit Rooky(surtout quand on a perdu l'épée dans la forteresse maudite)
Je mettrait aussi 18/20....

[Rooky]

Moi j'ai du ré essayer au moins 30 fois pour avoir l'épée de l'île de l'Aurore.

Les moment pourris, c'est au moment où on doit traverser la mer avec la pluie, et on doit trouver les 3 boules...

[Alcalime]

Le pire pour moi c'est rechercher les morceaux de la triforce car ça nous ruine et puis ya la blinde d'ennemi...

[mario bond]

Moi j'ai du ré essayer au moins 30 fois pour avoir l'épée de l'île de l'Aurore.

Les moment pourris, c'est au moment où on doit traverser la mer avec la pluie, et on doit trouver les 3 boules...

Completement dacord. Au moment on doit trouver la troisieme boule la ces chian >>. Perso j'ai mis 1 ans à le finir.

[Rooky]

Moi 10 mois.

[Firefoux]

Moi j'ai du ré essayer au moins 30 fois pour avoir l'épée de l'île de l'Aurore.

Les moment pourris, c'est au moment où on doit traverser la mer avec la pluie, et on doit trouver les 3 boules...

30 fois pour avoir la première épée? 1 seule fois moi!
Pour moi aussi c'est chiant de trouver la perle de Nayru. Et quand on doit poser les perles sur les statues, on se fait défoncer par les gros monstres volants.

[Rooky]

Ouais, les Seahats.

Y'en a plein qui empestent beaucoup d'îles. Ils sont gigantesques, et leur face est pas jolie-jolie à regarder...

Ils sont énervants.

[Eboorifée]

Moi j'ai fait le jeu avec mon frère pendant les grandes vacances on a passé toutes les vac' dessus ! Sinon, je n'ai pas trop aimé le moment on on doit chercher tout les morceau de la triforce !

[Rooky]

Moi, au contraire, c'est mon moment préféré.

[Firefoux]

Moi, le moment que j'ai un aimé un tout petit peu, c'est la première fois qu'on dans Hyrule. Y'a trop de Darknut et de Molblins (Mais j'adore tirer des flèches dans les fesses des Molblins^^).

[mario bond]

Moi, au contraire, c'est mon moment préféré.

Quoi ton moment préférer car moi arriver à la moitier j'ai faïs abandoner le jeu .

Y'a trop de Darknut et de Molblins

Moi j'trouve qu'yan a pas asser .

[Full_Korbe]

Y'a le topic Zelda...
Sinon, même si le test n'est pas mal, je trouve qu'il est court, car je pense qu'il y manque beaucoup de choses sur tout les plans. Mais ce n'est pas mauvais ! Et le 20/20 est mérité **chieur**

[Paravaati]

Completement dacord. Au moment on doit trouver la troisieme boule la ces chian >>. Perso j'ai mis 1 ans à le finir.

Amateur,je l'ai fini en 1 mois.
Sinon,les morceaux de triforce sont extrêmement chiants a trouver.En plus, pour payer tingle,a la première partie,je gagnait de l'argent avec le mini-jeu des piafs mais maintenant je gagne plus rien.

[mario bond]

Amateur,je l'ai fini en 1 mois.

C'était mon premier Zelda

[Rooky]

Moi, pour me faire de l'argent, j'allais au Batodrome.

Maintenant, arrêtons le H-S.

[ictomario]

Avec beaucoup de retard, voici le test de Donkey Kong Country :

TEST SNES
DONKEY KONG COUNTRY

Qui ne connaît pas Donkey Kong ? Un minimum de culture vidéo ludique est nécessaire, je vous l’accorde. Mais en général, parmi tous ceux qui le connaissent, peu savent à quel point le gorille était près de passer à la trappe à une certaine époque.
Cette époque débuta après Super Mario Bros. de la NES. Car si Donkey Kong avait eut trois années de gloire, de 1981 à 1983, elles étaient révolues en 1992. Pourquoi l’année 92 ? Parce que ce fut l’année ou Super Mario Kart sortit. Pourquoi Super Mario Kart ? Parce que sans ce Mario Kart, Donkey Kong aurait peut-être disparut aujourd’hui. En effet, la présence de son fils (Donkey Kong Jr.) dans le célèbre jeu de kart lui a permit de retrouver un peu de sa notoriété. Mais alors, si DK a un fils, il a une famille non ? Bingo. Cette famille, on la retrouvera dans tous les jeux (ou presque) où Donkey Kong sera présent par la suite.
A commencer par une bombe vidéo ludique en tout point : Donkey Kong Country. Mais pourquoi cette renaissance soudaine alors que Nintendo ne comptait plus sur le primate ? Tout simplement car le jeu a été développé par Rareware, développeur britannique peu connu malgré la création, sur NES notamment, de jeux assez brillants. Le pari était assez risqué pour Big N, mais ce fut un tel succès (9,3 millions d’unités vendues !) que le jeu fut adapté (avec éventuellement quelques modifications suivant les supports) sur Game Boy sous le nom de Donkey Kong Land, sur Game Boy Color, sur Game Boy Advance et sur Console Virtuelle pour la Wii !


Et il eut 2 suites, elles aussi maintes fois adaptées.
Mais quelles sont les clés d’un si grand succès ? Qu’est ce-que Donkey Kong Country a de plus que bien d’autres jeux ? C’est ce que je vais essayer de trouver dans ce test.

Tout d’abord, grâce à un plan marketing savamment préparé (cassette promo, pubs télé et dans les magazines, etc...). Pour se préparer à « la révolution » selon Rare. Ensuite, faire ressortir de l’oubli une ancienne star des jeux vidéos n’est pas chose aisée. Mais il fallait se renouveler un peu, du coup, l’ancien Donkey Kong fut rebaptisé en Cranky Kong ; qui est en fait l’ancien DK qui a mal vieilli car il est devenu un vieux grincheux nostalgique des années 80.


Mais on voulait donner au primate une famille complète. Ainsi furent créés Funky Kong et Candy Kong qui aident respectivement dans le jeu à retourner dans les niveaux déjà terminés et à sauvegarder. Pour compléter, il fallait une sorte de Luigi à Donkey Kong. C’est pour cela, mais aussi pour varier le gameplay, que Diddy Kong fut inventé (à noter que c’est le neveu de DK).
Et il est vrai, que, sans lui, le jeu serait moins intéressant, moins enrichi.
Le joueur doit en effet jongler d’un singe à l’autre car Diddy saute plus haut que Donkey mais en contrepartie, il a moins de puissance ou bien encore Diddy est plus agile mais ne tue pas les ennemis aussi facilement que Donkey.


Tout ceci est d’ailleurs brillamment expliqué dans le manuel du jeu très complet et agréable à feuilleter au passage ; notamment, grâce aux commentaires méprisants envers le jeu du sénile Cranky Kong ou du scénario du jeu.
Je n’en ai pas encore parlé donc le voilà : le neveu à DK était chargé de veiller sur la réserve de bananes des Kong mais les Kremlings l’enlevèrent dans la nuit orageuse et volèrent les délicieux fruits. Furieux, le primate décide de foncer récupérer Diddy et ses bananes par la même occasion. Pour une fois, nous avons droit à un scénario correct mais il est toujours question d’enlèvement. A noter que trois modes de jeu sont disponibles : l’habituel mode solo et deux modes jouables à deux : un contre la montre et l’autre en équipe chaque joueur contrôlant un singe. Vous me suivez ? Trois fichiers sauvegardables sont (fort) heureusement inclus.

Avant de s’attaquer au point fort du jeu, parlons du principe des 101 %. Effectivement, le jeu contient une quarantaine de niveaux. Chacun contient une ou plus généralement plusieurs salles secrètes (exceptés les niveaux sous-marins). Chaque stage terminé rapporte un point, tout comme une salle secrète visitée. Au bout du compte, on obtient donc 101 % ; les boss y compris. Mais alors Donkey Kong Country est un banal jeu de plateforme ? Bien sûr que non !
Le jeu est bien plus que cela, grâce à deux choses : les graphismes et la bande son. De la vraie 3D, du jamais vu sur Super Nintendo ! C’est donc du 32 bits sur 16 bits, mais comment est-ce possible ? Eh bien tout simplement, grâce aux très puissants ordinateurs de Rare qui ont créés le jeu en véritable 3D puis l’on convertit pour la légendaire console de Nintendo. Le déplacement s’effectue en 2D, bien évidemment, mais tout le reste est conçu en images de synthèse.


Du coup, l’animation est parfaite et le jeu ne comporte aucun bug d’affichage ; à moins de vraiment les rechercher.
Niveau gameplay, comme dit plus haut, il est parfait, comme il se doit chez Nintendo. Les personnages se manient avec aisance. Et pourtant, beaucoup d’action sont possibles, comme sauter, nager, courir, mais aussi attraper un tonneau, s’accrocher à une liane... A propos de tonneaux, sachez que Donkey Kong Country en contient beaucoup et de toutes sortes. Du tonneau Continue, permettant de retourner à l’emplacement du tonneau en cas de défaite, au tonneau canon, permettant d’envoyer les singes valdinguer à tout va, en passant par le tonneau DK, pour retrouver son compagnon. Et bien d’autres encore qu’il serait trop long de citer.


Il existe aussi d’autres items comme les lettres K, O, N, G, qui permettent de gagner une vie si vous les trouvez toutes les quatre dans un niveau ou les bananes donnant une vie au bout de 100 récoltées. Bref, ce jeu est dans l’ensemble varié, et les ennemis n’y échappent pas. On trouve des Klap-Traps (crocodiles à grande gueule), des Kritter (très simples à battre), les requins ou encore les huîtres pour les ennemis aquatiques. Ainsi que less boss, tout aussi vils et affreux.


Pour accompagner le tout, une excellente bande-son, avec des musiques mythiques à écouter en boucle tellement qu’elles sont sublimes et des bruitages à couper le souffle (j’avoue j’exagère un peu). Question durée de vie, sans soluce, il est quasiment impossible de finir le jeu à 101 % rapidement. Une fois fini, certains le referont une dizaine de fois, d’autres s’arrêteront à une fois ou deux seulement.
Pour la note finale, vous vous doutez bien que Donkey Kong Country n’est pas noté 20 sur 20, même si je n’ai quasiment pas parlé des défauts du jeu jusqu'à maintenant. Rassurez vous ils sont moindres mais ils sont bien là. Tout d’abord, certains passages sont très durs pour les jeunes joueurs, gare aux Super Nintendo en charpie après avoir bloqué sur un passage ardu ! Même si les boss sont assez simples, ils sont répétitifs. Pour finir avec les mauvais points, sachez qu’un petit nombre de personnes n’accrocheront pas au concept « 3D-images de synthèse ».

Mais le jeu n’a pas à pâlir de ses maigres défauts, car c’est tout simplement un hit !

Les +
Des graphismes époustouflants
Une bande-son irréprochable
Des personnages et ennemis divers et variés

Les -
Peut-être un peu trop dur
Boss répétitifs
Lassant à la longue

Note générale : 18 / 20

Graphismes : 5/5

Bande-son : 5/5

Prise en main : 5/5

Durée de vie : 4/5


Voili voilou " sort le bazooka " celui qui me dit que c'est trop court, je l'explose

[Yoshi80]

C'est trop court. Je plaisante, je trouve même que c'est un peu trop long.

[aure36]

Un test ne peut pas être long tant qu'il est passionnant. Et c'est ce que je pense de ce test .

[ictomario]

"tire avec son bazooka sur yoshi80" Y'en à d'autre ?

Non sérieux merci à tous pour vos commentaires, je sais quil est un peu long

[YΩshi]

Un nouveau test, celui de Mario Power Tennis sur la vieille mais non moins géniale GBA.

Test de Mario Power Tennis :



Après son passage sur Game Cube, Mario revient sur le cours avec ses amis et ennemis sur GBA. Quel intérêt me direz-vous? C'est à quoi ce test va tenter de répondre.

Tout d'abord le jeu est développé par Camelot, qui est habituellement spécialisé dans le RPG et cela se ressent dans le jeu car à la manière d'un jeu de rôle, on accumule de l'expérience au fil des matchs afin d'augmenter certaines compétences comme la puissance, le service, la vitesse ou la volée.

Le mode principal du jeu, le mode scénario, vous incarnez un jeune qui vient de faire son entrée dans l'académie royale de tennis. Vous pouvez choisir entre Max et Tina sachant que celui ou celle que vous n'aurez pas prit sera votre partenaire de double. Vous apprenez que de mystérieux joueurs masqués ont battus le champion de votre école et qu'ils viendront que si vous gagnez le tournoi de l'île qui se déroulera bientôt. Vous vous mettez donc en quête de la classe pro qui se situe après la classe débutant et senior pour pouvoir affrontez ces mystérieux joueurs dont on devine dès le début du jeu l'identité. Vous devez pour cela battre les champions des classes inférieures pour pouvoir grimper dans le classement et participer au tournoi de l'île. L'académie comporte un terrain pour chaque classe ainsi qu'un court d'entraînement et une salle d'entraînement qui vous apprendra à maitriser des super-frappes, tout droit héritées de l'épisode Game Cube. En effet, cette salle vous propose des mini-jeux qui améliore vos super-frappes (super course ou télékinésie) que vous pourrez choisir via un menu dédié.


Un exemple de méga-frappe

Les graphismes sont joliment réalisés et colorés et reprennent l'univers cher à notre plombier préféré. Seuls les personnages de Mario ont des coups un peu brouillons mais rien de bien grave. Les cours sont assez détaillés et les animations sont agréables à l'oeil.Du côté des musiques on retrouve des sons tout droit sortis d'un RPG mais cela colle bien à l'ambiance générale que dégage le titre. Les voix des personnages "mariologique" sont les mêmes que dans tous les autres jeux et on a même le droit à une voix nous annonçant les scores.

Passons maintenant aux matchs à proprement dit ou au mode Exhibition. On peut donc enfin sélectionner des personnages de Mario même si leur nombre est très restreint (Mario, Luigi, Peach, Waluigi, Bowser et Donkey Kong) et faire des matchs en simple ou en double. Vous pouvez choisir entre quatre types de terrain (béton, synthétique, terre battue ou gazon) au début du jeu, un dernier plus fantaisiste étant à débloquer et le nombre de jeux par set et le nombre de sets. Ensuite viennent les matchs, on utilise les flèches directionnelles pour se déplacer et les boutons A et B pour faire des balles coupées ou liftées, les deux boutons utilisés ensemble servant à faire une balle rapide. Le bouton R combiné à un des deux boutons sert quand à lui à effectuer une super-frappe offensive ou défensive.


L'écran de sélection des personnages

On trouve aussi dans le menu un mode multijoueurs, un mode mini-jeux où l'on peut refaire les entraînements réussis dans le mode aventure sans avoir besoin de jouer en mode Scénario et, option assez sympathique, un dico complet sur tous les termes utilisés en tennis. Même moi, qui, sans avoir la prétention de m'y connaître en tennis, connaît quand même le fonctionnement d'une partie, en ait appris quand même pas mal sur le sujet. Comptez une bonne trentaine d'heure pour finir le jeu à 100% personnages, mini-jeux et stades compris.

Plus :
-Un côté jeu de rôle dans un jeu de tennis, c'est pas habituel et ça marche
-La maniabilité
-L'atmosphère que dégage le jeu
-Le petit dico, une option sympa

Moins :
-Les personnages de Mario, très peu nombreux (absence de Yoshi)
-Le scénario assez limité

En résumé :

Scénario : 3/5
Un scénario pas folichon même s'il a le mérite d'exister

Maniabilité : 4/5
Même si l'on se sert que de deux boutons, elle est simple, réactive et subtile

Graphismes : 4/5
Des graphismes colorés, fourmillant de détails

Musiques : 5/5
Des musiques de jeu de rôle mais qui collent parfaitement à l'atmosphère du jeu

Durée de vie : 4/5
Une trentaine d'heures pour compléter le jeu en entier

Note finale : 18/20
Un excellent jeu même si la licence Mario n'est que très peu exploitée. Si vous aimez le tennis foncez les yeux fermés, sinon ... achetez le quand même vous ne serez pas déçu et en apprendrez beaucoup sur ce sport.