C’était une tragédie importante à Toadville, les événements se bousculaient, Peach est possédée, Dila T. agit mystérieusement, Mario contient du feu à l’intérieur de lui, Peach extermine l’armée de Bowser, et Toadsworth a de la difficulté à rester debout, sous le choc des événements. De leur côté, Wario et Waluigi capitulent et se retrouvent à Port-Bloopignon, leur ville natale.
--- Bon, on est en mauvaise position, explique Wario, l’armée de Bowser ne sait plus ce qu’elle fait, on est les seuls survivants, et tu as un Blooper sur la tête!
--- Non, pas encore, dit Waluigi.
--- C’est ça qui arrive lorsqu’on est le plus grand, reprend Wario.
Un Blooper affamé arrive et croque dans la chair de Wario. Waluigi part à rire.
--- C’est ça qui arrive lorsqu’on est le plus gras, réplique Waluigi. En tout cas, ça doit faire mal!
--- C’est curieux, réfléchit Wario, je n’ai rien ressenti.
Très loin de là, Yoshi parlait avec Toadsworth pour essayer de le consoler, malgré la tournure que prenaient les événements.
--- La princesse, pleure Toadsworth, elle se comporte bizarrement, ces derniers temps.
--- Mais non, explique Yoshi, ce n’est qu’un clone de la princesse…
--- Si ce n’est qu’un clone de la princesse, se décourage Toadsworth, comment a-t-elle pu attaquer l’armée de Bowser.
--- Bah… une pièce de théâtre, peut-être…
--- Ha! Ha! Ha! Très, très drôle!
Mario était au bord des larmes: Peach l’avait promis en mariage. Maintenant, elle ne veut plus de lui et a même commencé à attaquer par elle-même l’armée de Bowser. Pour se consoler, il décida d’aller voir Detec T. Il répondit aussitôt.
--- Salut, Mario, ça va bien! J’ai continué mes recherches de hier et j’ai constaté que toute l’armée de Bowser a la même substance que Peach dans son corps. N’est-ce pas fascinant!
--- Oui, répond Mario d’une voix monotone, mais je suis venu pour autre chose.
--- Pour autre chose, dit Detec T., mais tu ne peux pas manquer une découverte aussi fascinante. Regarde le GPS, à croire que Peach aurait attaqué l’armée de Bowser au complet…
--- C’est ce qu’elle a fait, coupe Mario, et c’est parce que je suis découragé que je suis venu te voir.
--- Bon, pour continuer à propos de mes découvertes, j’ai su que ton corps contient du feu, j’aimerais maintenant que Luigi vienne ici, il pourrait contenir du feu à l’intérieur de lui, comme toi.
--- D’accord, accepte Mario, je vais chercher Luigi.
Luigi était de retour chez lui. Mario devait aller le chercher comme il l’avait promis à Detec T. Il savait qu’il allait se retrouver devant Par T. à nouveau, mais maintenant, il savait que le feu à l’intérieur de lui pouvait l’aider à le combattre. Effectivement, il se retrouve encore devant Par T. avant d’aller chez lui. Il se fit encore interrompre dans ses pensées, mais dans ses pensées négatives, cette fois.
--- Encore toi, pif-pouf-patapouf, s’écrie Par T. Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé!
--- Tu te rappelles de la dernière fois, répond Mario, n’est-ce pas?
--- Oui, je m’en rappelle, reprend Par T., et tu as encore le même habit ridicule, et tu es encore tout rouge. Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Cette fois, je vais te dégonfler! Hé! Hé! Hé! De toute façon, ce n’est pas nécessaire, tu vas finir par exploser! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé!
--- Grrrrrrrrrr, se fâche Mario.
Mario ressentait quelque chose qu’il n’avait jamais ressenti de toute sa vie: il ressentait une colère contre ceux qui ont empoisonné Peach, contre ce qu’elle a fait, contre le refus de son mariage, contre ce qu’a essayé de lui faire Dila T. et contre Par T. Il ressentait une colère… chaude. Il frappe à nouveau Par T., qui s’effondre au sol. Par T. hurle de douleur, et Mario continue sa marche vers sa maison. Luigi était là, dehors, sur le balcon.
--- Bonjour, Mario, crie Luigi.
--- En fait, explique Mario, Detec T. veut tester ton ADN, il faut que tu viennes au château.
--- Par la marche, se décourage Luigi.
--- Oui, confirme Mario.
--- Bon, d’accord, accepte Luigi, mais c’est seulement parce que c’est toi que je fais cette marche. D’habitude, j’y vais en automobile.
--- Puisque tu es là, frérot, peux tu m’expliquer dans quel cauchemar suis-je pour que Peach se fasse empoisonner juste au moment que j’allais me marier?
--- Ce n’est pas un cauchemar, explique Luigi, c’est la réalité. Tout ce qui se fasse est bien réel.
--- Tu en es sûr? D’abord, où bien Detec T. est fou à lier, où bien il y a vraiment du feu dans mon corps! Enfin, puisque mon poing semble vraiment chauffer Par T., je vais y croire. Tu sais, Luigi.
--- Oui, quoi.
--- J’aimerai tellement me réveiller pour apprendre que ce n’est qu’un cauchemar.
--- Je sais, frérot.
Ils continuent ainsi tout au long de la marche, mais ils rencontrent tout de même quelques difficultés dont, en particulier, l’angoisse. En même temps que Mario et Luigi revenaient au château, dans ce château se produisait quelque chose de bien spécial.
Toadsworth était encore en train de se plaindre de la tournure que prenaient les événements, et racontait que tout cela était de sa faute, mais un visiteur très important arrive: le maire de Koopaville, Koopok. Il entre dans le château avec la permission des gardes.
Lorsque Koopok pénètre le château, il voit un désastre: toute l’armée de Bowser était là. Toadsworth était sans connaissance, et la plupart des Toads n’étaient même pas au château. Comme si un malheur venait de frapper, ce qui était entièrement le cas.
Quelques minutes après, Mario et Luigi arrivent, et souhaitent la bienvenue à Koopok.
--- Mais que s’est-il passé, demande Koopok.
--- En fait, explique Mario, c’est une longue histoire. Tout a commencé lorsque Peach et moi étions dû au mariage. Le lendemain, Peach avait complètement changé et elle ne voulait même plus de moi. Elle m’a même traité de bouffon. Ensuite, Detec T. a appris que Peach était possédée par une puissance inconnue. Dila T. a essayé de me tuer, c’est après que j’ai appris que mon corps contenait du feu. Plus tard, l’armée de Bowser a attaqué, mais Peach les a attaqué et, maintenant, ils ne savent plus ce qu’ils font. Finalement, Detec T. m’a demandé de lui apporter Luigi pour qu’il teste son ADN. Et voilà ce qui s’est passé ici dernièrement. C’est très tragique, mais ce n’est que la vérité. Enfin, bonne visite au château de Peach, seigneur d’une ville lointaine.
--- Merci de m’avoir tout dit, remercie Koopok.
Koopok continue la visite du château, tandis que Mario et Luigi vont voir Detec T., afin qu’il teste l’ADN de Luigi. Yoshi, lui, était en conversation avec Pauvre T., le responsable de la circulation routière, au troisième étage.
--- La princesse se conduit très étrangement, n’est-ce pas, Yoshi.
--- Ce n’est qu’un clone de la princesse, Pauvre T.
Soudainement, Pauvre T. se penche en deux, et appuie ses mains sur sa tête.
--- Non… Lâchez-moi…
--- Ça ne sert à rien de résister.
--- Je ne mérite pas ça… Lâchez-moi…
--- Va tuer Luigi! Maintenant!
--- Quoi? Mais, je…
--- Tu vas le faire.
--- Nooooooooooooooooon!
--- Maintenant, va tuer Luigi.
--- Bien, maître.
Encore une fois, une panne d’électricité. Plus aucune lumière n’est allumée. Pauvre T. prend un couteau, et marche vers Luigi.
--- Mais… Pauvre T., s’écrie Yoshi, qu’est-ce qui te prend.
Rendu juste devant Luigi, Pauvre T. lève le couteau et, au moment où Luigi émet un cri strident, lui tranche la tête. Luigi hurle de douleur, et Mario ne suit plus les événements.
--- C’est fait, maître, dit Pauvre T.
--- Maintenant tu ne me sers plus à rien.
--- Nooooooooooooooooon!
--- Que se passe-t-il, se demande Pauvre T., c’est toxique.
La lumière revient. Pauvre T. perd connaissance. Luigi est en pénible état, et Mario ne sait plus quoi faire.
--- Et voilà, pleure Yoshi, par la faute de Pauvre T., Luigi est mort, à moins qu’il n’ait survécu à cela, ce qui est impossible.
--- Non, pleure Mario, pourquoi Luigi!
Koopok arrive à ce moment. Il observe attentivement la situation, et constate qu’il vient tout juste d’y avoir un meurtre récent.
--- Qu’est-ce qu’il se passe, ici, se demande Koopok. Cela fait à peine quelques minutes que je suis au château, et il y a déjà un meurtre.
--- Oui, répond Yoshi, et, tout ça, c’est à cause de Pauvre T. qui a agi bizarrement en manipulant un couteau dangereusement.
--- Mais, dit Pauvre T., je n’ai rien fait du tout.
Enté T. arrive et prend part à la conversation.
--- C’est peut-être une bonne chose, ça prouve que les couteaux du château sont tranchants.
Tout le monde regarde Enté T. comme s’il avait fait la pire chose qu’un homme aurait pu faire.
--- Hihi!
--- Là, c’est vraiment étrange, dit Yoshi, d’abord, Peach, ensuite, Dila T., enfin, Pauvre T. Ça fait trois clones en aussi peu de temps!
--- Ce ne sont pas des clones, explique Mario, ce sont les vraies personnes mais elles sont possédées, c’est pour ça que Pauvre T. ne se rappelle de rien. C’est comme si quelqu’un avait trouvé le moyen d’intégrer leur conscience pour la modifier et ainsi la soumettre à sa volonté.
--- Je commence à croire que la fin du monde va réellement arriver, annonce Yoshi.
--- Non, réfléchit Mario, il y a sûrement un moyen… On va finir par y arriver, je vous le promets. Mais, pour l’instant, Detec T. veut tester l’ADN de Luigi, alors, je dois y aller.
--- Je l’espère, Mario, pense à voix haute Yoshi, je l’espère.
Mario continue sa route vers Detec T., le scientifique du château, mais Yoshi reste avec les autres.
--- Je suis supposé d’aller voir la princesse, déclare Koopok, alors je vais suivre Mario et Luigi.
Les trois partent vers le dernier étage. Mario va au laboratoire en traînant Luigi derrière lui, tandis que Koopok va voir la princesse. Comme d’habitude, Detec T. ouvre presque aussitôt.
--- Ah, s’écrie Detec T., vous revoilà enfin! Je vais pouvoir vérifier l’ADN de Luigi, ce ne sera pas long, Mario. Et à propos de mes découvertes, la panne d’électricité ne m’a pas permis d’avancer. Et, au fait, qu’est-il arriver à Luigi? Il s’est coupé la tête?
--- Pas vraiment, explique Mario, c’est Pauvre T. qui l’a fait en étant possédé. Il est mort.
À ce moment, Luigi se réveille et replace sa tête sur son corps.
--- Luigi! Tu es encore vivant! Ça alors!
--- Oui, frérot, je suis vivant, pourquoi?
--- Il y a quelques secondes, ta tête était tranchée.
--- Bon, coupe Detec T., maintenant que Luigi est vivant, je vais pouvoir analyser son ADN. Peut-être que son corps contient, comme le tien, du feu. On va voir, mais, pour l’instant, le comportement de la princesse ne subit aucun changement. Une petit flacon de sang, et ce sera beau.
Luigi accepta sans renfrogner.
--- Voilà, dit Detec T., je vais apporter la confirmation le plus vite possible.
--- Merci, Detec T., remercie Mario.
Soudainement, la voix de la princesse résonne dans tout le château :
--- Gros imbécile! Et tu me déranges pour ça.
Mario et Luigi décident d’aller voir ce qui se passe dans la chambre de la princesse. Celle-ci insultait le pauvre visiteur de Koopaville. Décidément, ce n’était pas normal.
--- Mais je… je, balbutie Koopok.
--- Tu m’as dérangé pour rien, oui, maintenant, sors de ma chambre, ce que tu as à me dire est inutile.
--- La princesse n’est vraiment pas dans son état normal, dit Luigi.
--- Oui, répond Mario, et juste au moment où on organisait notre mariage.
--- Sortez, vocifère la princesse. Et toi, Mario, tu es un vaurien, un minable, un bouffon. Tu es affreux, et tu ne sers à rien. Je préfère de loin me suicider à te toucher le moindre cheveu. Tu es un imbécile.
Les trois autres obéissent à la princesse et quittent sa chambre. Mario retourne dans sa chambre et se sent plus que jamais par la tournure que prennent les choses.
Koopok, déçu de sa visite à Toadville, part et décide de ne plus jamais mettre les pieds dans cette ville selon lui maudite. Enfin, la princesse se sent bien, sur le point d’avoir déjà accompli sa mission.
--- J’ai accompli ma mission, maître, l’armée de Bowser est possédée, et la tête de Luigi a été tranchée.
--- Bravo, servante.
--- Mario ne devrait pas s’en remettre bientôt, il n’est temporairement plus une menace. Maintenant, tu dois attendre.
--- Mais, dit Peach, maître, il faut en finir au plus vite, avant que Mario de redevienne une menace.
--- C’est vrai, il faudrait trouver un moyen d’en finir au plus vite avec Toadville car il en reste beaucoup à faire.
--- Patience… Un à un, nous les exterminerons tous.