Vos idées : Fics
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Re: Vos idées : Fics
En même temps, il est sensé être un grand timide en société, il manque de confiance en lui auprès des gens qu'il connaît peu et qui se foutent de lui (Ophélia) alors qu'il est capable de répondre aux gens qui l'acceptent et l'apprécient (Sarantu).
Bref, merci encore de commenter, je craignais que l'arrivée de l'humour passe mal après les premiers chapitres plutôt sombres. C'est pas mon genre de gueuler "Lâchez vos comms !", mais c'est vrai qu'en voyant que vous publiez un chapitre et que personne ne le commente, vous vous demandez si quelqu'un vous lit encore, c'est assez frustrant, surtout lors d'une transition délicate comme celle-ci. Vous ne savez pas si vous avez bien fait d'alterner les genres.
En même temps, je peux comprendre, faut prendre le temps de lire et de suivre l'aventure. Les fics, ça attire moins que les SC, parce que ça se lit moins vite et qu'il faut s'imaginer la situation. Je vous en veux absolument pas de pas commenter, mais n'hésitez pas à me dire s'il y a quelque chose qui ne vous plaît pas, que je voie ce que je peux faire pour le corriger, et c'est via les commentaires que je prends conscience de mes erreurs.
Bref, merci encore de commenter, je craignais que l'arrivée de l'humour passe mal après les premiers chapitres plutôt sombres. C'est pas mon genre de gueuler "Lâchez vos comms !", mais c'est vrai qu'en voyant que vous publiez un chapitre et que personne ne le commente, vous vous demandez si quelqu'un vous lit encore, c'est assez frustrant, surtout lors d'une transition délicate comme celle-ci. Vous ne savez pas si vous avez bien fait d'alterner les genres.
En même temps, je peux comprendre, faut prendre le temps de lire et de suivre l'aventure. Les fics, ça attire moins que les SC, parce que ça se lit moins vite et qu'il faut s'imaginer la situation. Je vous en veux absolument pas de pas commenter, mais n'hésitez pas à me dire s'il y a quelque chose qui ne vous plaît pas, que je voie ce que je peux faire pour le corriger, et c'est via les commentaires que je prends conscience de mes erreurs.
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Re: Vos idées : Fics
Celui-ci est l'un des plus gros et fait en effet huit pages en format .odt . Je respecte la disposition de certains livres de la collection Folio pour que le format "roman" soit retrouvé (Times New Roman en taille 18), les chapitres font donc de 4 à 8 pages en moyenne. Au final, je peux fusionner les chapitres deux par deux pour qu'ils soient plus gros, j'ai pas encore décidé.
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Re: Vos idées : Fics

Excellente fic, je ne sais que dire, j'adore l'état d'esprit, au début je craignais que ça évolue en un roman un peu d4rk emo, mais la touche d'humour et le fantastique présent dans la fic m'ont tout de suite rassuré. J'adore aussi comment ça mèle la science-fiction et la (dure) réalité, mais ce que j'attend le plus je pense c'est l'ultime combat entre le 'héros' et Feltro, combat à la fois physique mais aussi psychologique car tous deux défendant leurs points de vues, ce qui ne serait pas sans rappeler ta petite présentation au début, "Mélangeant plusieurs types d'humour sur un fond extrêmement noir, ce qui paraît être une intrigue classique au premier abord va voir une opposition entre gentils et méchants se muter en une opposition entre deux points de vue entre lesquels il devient difficile de faire un choix.", enfin en tout cas je l'ai compris comme ça

Bref, good job

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Re: Vos idées : Fics
Le côté dark ne s'est pas encore entièrement rétracté, j'ai écrit quelques horreurs dans la suite qui vont rappeler que le fond de cette aventure est avant tout très sombre. J'ai ajouté un côté comique pour éviter que le tout ne soit pas trop chiant à lire pour ceux qui n'ont pas envie de dépérir à chaque chapitre (m'enfin, j'exagère un peu
). Côté ultime combat, je l'ai pas encore écrit (j'en suis à vingt chapitres, je fais une petite pause en ce moment avant de faire les 10 ou 20 qu'il reste) mais je sais ce que je vais y mettre, et vu ce que tu penses, tu devrais pas être trop déçu.
Merci du commentaire, au passage.
Chapitre 7

Merci du commentaire, au passage.
Chapitre 7
Inquiet, je sors de ma chambre. Ma mère me tombe dans les bras, essoufflée, incapable de prononcer un mot car semblant sous le choc. Mon père semble également affolé.
« Igor ! Mais où étais-tu passé ?
- Euh... hein ?
- Voilà une demi-heure au moins que nous te cherchons partout ! Nous avions cru que tu avais été enlevé par un voisin !
- Pourquoi un voisin ?
- Tu sais comment ils sont avec nous. Ta disparition nous a rappelé ce qu'il s'est passé voilà quatre ans... »
Ce qu'il s'est passé voilà quatre ans est en tête de la liste des événements que j'aurais préféré ne jamais subir.
J'avais cinq ans quand mon petit frère Victor est né dans l'indifférence. Mon père m'a raconté que ma naissance s'est faite dans les mêmes conditions que ce à quoi j'ai assisté pour celle de mon frère.
Je me souviens du jour de l'accouchement de Victor. Ma mère, épuisée par les trente kilomètres de marche entre notre domicile et la maternité, ne pouvait plus marcher et devait mettre au monde dans l'urgence. Je me souviens de la scène entre mon père, furieux, et la réceptionniste.
« Comment ça, aucune chambre n'est disponible ?
- Je suis désolée monsieur, mais votre femme devra attendre.
- Mais elle va accoucher d'un instant à l'autre ! Vous ne pouvez pas la laisser comme ça !
- Vous m'en voyez franchement navrée, je ne peux rien faire.
- La salle d'attente est vide ! Ne me dites pas qu'aucune salle ne peut accueillir ma femme !
- S'il vous plaît, monsieur, prenez place dans cette salle d'attente, et attendez votre tour.
- C'est ça... J'ai déjà fait la sage-femme cinq ans plus tôt. Donnez-moi trois serviettes et je reprendrai la casquette dans votre foutue salle d'attente !
- Les agents de service viennent de nettoyer le sol, vous ne pouvez pas mettre au monde votre enfant là-bas !
- Il y a cinq ans, vous nous aviez jeté dehors comme des chiens ! Mon premier fils est né à côté d'une bouche d'égout sous la pluie ! Vous ne pouvez pas nous laisser refaire ça !
- Légitimement, vous êtes sur la voie publique, en-dehors de notre domaine de réglementation, je ne peux donc vous empêcher de le refaire, vous avez raison ! »
Suite à quoi mon père se jeta sur la réceptionniste. Les agents de sécurité l'arrêtèrent, et il passa une journée en garde à vue.
Ma mère et moi sortirent de la maternité. Je vis passer un groupe de personnes en protégeant une autre. Une des personnes dit ''Laissez passer la ministre de l'Agriculture ! Elle a perdu les eaux !''. Une armée d'hommes en blanc les attendait à l'entrée, l'un répondant ''Entrez vite ! Toutes nos chambres sont libres, vous y accoucherez dans le calme.''. Ma mère, hurlant de douleur, assise sur le trottoir sous la pluie, appela à l'aide auprès des passants ne daignant ni baisser le regard, ni venir en aide à la pauvre femme. Rassemblant ses souvenirs, elle me confia alors les instructions pour l'aider à accoucher comme elle l'avait fait pour moi. Victor est né après trois heures d'interminables efforts, sans aucune autre assistance que la mienne. Nos deux naissances furent quasiment miraculeuses.
Ce qu'il s'est passé voilà quatre ans s'inscrit dans la continuité de la naissance de mon frère. Déjà appelés ''les frères trottoir'' par le voisinage ayant eu vent de notre lieu de naissance, nous sommes restés les têtes de turcs du quartier, à l'époque encore fréquenté. Aujourd'hui, tous ont déserté la zone, devenue délabrée, nous sommes les seuls à y loger encore.
Un sale gamin, pourtant aussi pauvre que nous, ne trouvait d'autre occupation que de lancer des œufs pourris contre notre maison. Ce jour-là, mon frère avait sept ans, moi douze, lui quatorze. Mes parents s'étaient absentés brièvement ce jour-là, je devais garder Victor. Nous jouions à l'extérieur, quand il nous a abordés.
« Hé, trottoir deux, tu sais que t'es mignon ?
Victor restait bouche bée, n'osait dire mot. Déjà peu causant à l'époque, je devais intervenir, bafouillant.
- S'il te plaît, pars.
- Ta gueule, trottoir un, c'est à l'autre que j'cause !
Sur ces mots, il me donna un coup de boule m'envoyant valser au sol, m’assommant. Avant de m'évanouir, je voyais mon frère, tétanisé, agrippé par le bras.
- Allez, viens, je vais te présenter un truc chouette... »
Quand je me suis réveillé, j'étais dans mon lit. Mes parents m'y avaient transporté. Ma mère pleurait à chaudes larmes. Mon père me demanda où était passé Victor, je lui ai conté ce qu'il s'était passé.
Nous l'avons retrouvé le lendemain, dans le canal asséché, le visage en sang, le pantalon baissé, laissant des traces de sperme en évidence...
Mort.
Ma disparition laissait envisager le pire pour mes parents. Ils ne voulaient pas revivre ça, ils n'ont pas besoin de ça en plus. Malgré la plainte déposée, nous n'avions pu mener l'enquête à terme, faute de moyens financiers suffisants. Tout le voisinage avait été choqué de l'accusation du gamin et l'avait soutenu pendant les faits. Aujourd'hui, il est dealer à la sortie des collèges, et un ami de Wolfgang Ulrich est l'un de ses plus fidèles clients.
L'inquiétude de mes parents est justifiée. Perdu dans mes pensées, me remémorant cette histoire, mon père doit hausser la voix pour reprendre la conversation.
« Igor ! Dis-moi où tu étais !
- Euh... mais pourquoi êtes-vous entrés dans ma chambre, d'abord ?
- On a entendu des coups violents contre la maison, suffisamment bruyants pour tous nous réveiller. Nous voulions te demander si tu avais vu quelque chose.
- Pendant mon sommeil ?
- Les murs sont fragiles, ici. Il se pourrait que l'un de ces pilleurs soit entrés de force dans la maison, en frappant le mur de ta chambre de coups de marteau.
- Non, mais ça, euh... C'est moi en fait, je... vous prépare une surprise.
- Tu te lèves en plein milieu de la nuit pour frapper les murs de la maison pour nous réveiller en sursaut ? Merci pour la surprise, on s'en serait passé !
- Non, mais c'est, euh... un truc qui s'est emballé. Mais vous en faites pas, tout est sous contrôle, et encore désolé du dérangement, je serai plus discret la prochaine fois. Ne vous inquiétez pas non plus si vous ne me voyez plus.
- Et quand est-ce qu'on aura vent de cette... surprise ?
- Euh... je ne sais pas encore...
- Bon, je te fais confiance, tu ne nous mens pas d'habitude. »
Et pourtant, je venais de le faire. J'ai profité d'une situation étrange pour masquer ma double-identité. J'ai menti à mes parents pour respecter une clause de confidentialité.
Avant de me rendormir, je consulte le livret, mais rien n'est mentionné au sujet d'un viol permis de cette cause pour rassurer l'entourage familial. Bref, je verrai ça demain avec Sarantu. Je ne sais pas si je pourrai mentir longtemps à mes parents...
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Re: Vos idées : Fics
Putain mais c'est horriblement atroce, l'accouchement dans la rue, le viol à mort du petit frère... Oo
J'aime beaucoup ta fic mais là pour le coup ça fait deux gros chocs, heureusement que toute la fic est pas comme ça... xD
J'aime beaucoup ta fic mais là pour le coup ça fait deux gros chocs, heureusement que toute la fic est pas comme ça... xD
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Re: Vos idées : Fics
Je l'ai lue jusqu'ici toute la soirée (je reponds que maintant vu que j'ai finit vers 3h
).
Ta fic est vraiment exellente, j'ai été obsorbée durant toute ma lecture et le dernier chapitre paru j'avoue avoir eu un haut-le-coeur en lisant le viol à mort de son frère, wow, vivre avec ça sur la conscience doit être un véritable enfer. Et puis le fait que la mère aie du accoucher sur le trottoir m'a mise hors de moi, sérieusement, où est la bonté humaine?! J'aurais été a la place du père, je n'aurais pas que tabasser la réceptionniste
(ouf faut que je me calme, ce n'est qu'une fic...).
Le coté emo, hum, j'ai lu pire, bien pire
. Lisez ou regardez le tombeau des lucioles et là vous aurez des envies de suicide xD (donc si vous êtes depressifs, attention).
En tout cas continue, je suis impatiente de lire la suite.
(tout ceci m'a donner envie de reprendre mon chapitre moi, hop au boulot)

Ta fic est vraiment exellente, j'ai été obsorbée durant toute ma lecture et le dernier chapitre paru j'avoue avoir eu un haut-le-coeur en lisant le viol à mort de son frère, wow, vivre avec ça sur la conscience doit être un véritable enfer. Et puis le fait que la mère aie du accoucher sur le trottoir m'a mise hors de moi, sérieusement, où est la bonté humaine?! J'aurais été a la place du père, je n'aurais pas que tabasser la réceptionniste

Le coté emo, hum, j'ai lu pire, bien pire
En tout cas continue, je suis impatiente de lire la suite.
(tout ceci m'a donner envie de reprendre mon chapitre moi, hop au boulot)
credit to machin
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Re: Vos idées : Fics
64 pages ? ça fait beaucoup...
Bon ben je suis venu ici pour lire des fan-fictions, et si vous pouviez me dire lesquelles ont été vos coups de coeur (fini ou en cours) avec éventuellement la/les page(s) où ils sont postés (ou même les sujets), pour éviter de commencer à lire des fics qui sont en fait des trucs biens pourries !
Bon ben je suis venu ici pour lire des fan-fictions, et si vous pouviez me dire lesquelles ont été vos coups de coeur (fini ou en cours) avec éventuellement la/les page(s) où ils sont postés (ou même les sujets), pour éviter de commencer à lire des fics qui sont en fait des trucs biens pourries !

- Desmu
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Re: Vos idées : Fics
La mienne par exemple, elle vaut le coup.
[/arrogant]
Je vois que le Chapitre 7 a produit l'effet escompté, merci d'avoir correctement réagi.
Chapitre 8
Je vois que le Chapitre 7 a produit l'effet escompté, merci d'avoir correctement réagi.

Chapitre 8
Horreur au moment de se lever : impossible de sortir ! Des planches de métal solide recouvrent nos portes et fenêtres donnant sur l'extérieur ! Nous sommes enfermés !
Mon père tente par tous les moyens de briser l'emprise de ces choses, il n'hésite pas à sortir une vieille caisse à outils... mais ce sont les outils qui brisent. C'est au tour de mon père de fondre en larmes, à ma mère de le réconforter.
« Non ! Non ! Je suis déjà dans le collimateur du patron depuis que je suis dans sa boîte, ça fait quinze ans qu'il cherche un prétexte valable pour me virer !
- Il ne va quand même pas te virer pour un retard au boulot, quand même, si ?
- Je l'ai déjà supplié pour avoir ce job au RMI, mais il préfère encore ne pas m'avoir dans ses rangs ! »
Ayant une idée, bien que peu orthodoxe, je fuis vers Anuva. Sarantu n'est pas là, mais je peux toujours demander conseil aux maîtres. Je parviens à en trouver un en communication visuelle grâce à l'ordinateur.
« Mes respects, maître. Je me nomme Ardamu, je viens d'être promu apprenti, et j'ai besoin de votre aide.
- Salutations, apprenti, que souhaites-tu savoir ?
- Je suis actuellement bloqué chez moi, des énergumènes ont bloqué les issues avec des planches de métal. Ne puis-je pas me servir de mon armure Mikava pour briser leur emprise ?
- Son usage est normalement réservé aux combats. Mais tu peux t'en servir pour te sortir d'une situation inextricable avec des moyens terrestres.
- Merci, maître. »
La communication se termine, je retourne sur Terre, attends que mes parents s'éclipsent dans une pièce voisine, je pense ''Enfiler armure'' quelques secondes. Ça marche. Je sors la lame de son fourreau et m'en sers pour éliminer les planches bloquant l'accès à la porte principale. Le bruit attire l'attention de mes parents. Heureusement qu'ils ne me voient pas quand je suis en armure, la situation serait inexplicable. Je m'éclipse vers les toilettes pour reprendre mon apparence humaine, tandis qu'ils restent bouche bée devant l'issue crée comme par magie. Peu après, je me sers de mon jeu d'acteur pour avoir l'air aussi surpris qu'eux. Puis la journée reprend normalement, et par chance, personne n'est en retard.
Entrant en salle de classe, Horace, fils de l'employeur de mon père, pousse un ''Mais...'' stupéfait en me voyant, avant que son voisin Manu ne le coupe avec un ''Ta gueule.'' très distingué.
La journée est plate, comme à son habitude. Je reprends mon humeur habituelle, malgré une présence d'énergie un peu plus conséquente qu'à l'habitude.
Le soir, je retrouve Sarantu. On est Vendredi, pas de cours demain, je peux rester aussi longtemps que je le souhaite. Je le retrouve dans la salle d'entraînement.
« Chevalier, ne m'aviez-vous pas promis un moyen de locomotion ?
- Patience, patience, mon jeune apprenti. Toute chose vient à point en heure de celui qui sait attendre !
- Mais... ça ne veut rien dire !
- D'accord, tu m'y feras repenser après le cours.
- Avant de commencer, je voulais demander si je pouvais révéler l'existence de ma seconde vie à mes parents. Je risque d'avoir du mal à joindre les deux, et ils commencent déjà à s'inquiéter, je suis contraint de leur mentir et j'ai horreur de ça.
- La clause est claire : tu dois garder l'anonymat. Ne parle même pas de ton identité secrète à tes parents.
- Même les super-héros chez Marvel et DC Comics ont confié leur identité secrète à certaines personnes !
- Tu n'es pas un super-héros, tu es un Mikava !
- …
- Je sais, c'est dur à admettre, c'est difficile de masquer tout ce tintouin aux seuls proches que l'on a, mais il faut le faire ! On évite ainsi une propagation de notre existence dans les médias, ce qui empêche certains mouvements de vouloir nous éliminer.
- Quels mouvements ?
- Tu penses que ça ferait plaisir aux gouvernements impérialistes de savoir qu'ils ont une société concurrente à la leur ? Comment exercer l'autorité et la terreur quand on sait qu'un havre de paix est accessible, à condition d'être apprécié de personne ?
- Si votre organisation comporte tant de sages, je pense que ceux-ci sauront faire la différence entre vrais et faux rejetés.
- Nous serions confrontés à la traque des Mikava. Les pays dépenseraient des milliards pour nous détecter et nous minimiser encore plus qu'ils ne l'ont déjà fait. Puis le bal de l'hypocrisie s'ouvrirait : ''Pourquoi aller sur une planète parallèle et risquer à être tué par un gilet-orange simplement pour être sociable alors qu'on peut vous aider sans danger ?'', avec ses fausses promesses et ses fausses compassions !
- Et qu'est-ce qui me prouve qu'il n'y a pas d'hypocrisie ici ?
- Cet endroit a été fait par quelqu'un ayant réellement vécu l'expérience de la solitude, il ne souhaite ça à personne !
- Qu'est-ce que vous en savez ? Vous étiez là ?
Le ton de la conversation toujours croissant laisse sa place à un silence glacial. Sarantu se reprend sur un ton ferme.
- Jeune homme, j'ai vu par moi-même une quarantaine de personnes passer du stade d'exilé à celui d'homme de société. Je n'ai pour certifier cela que ma parole d'homme. Libre à toi de me croire ou pas. Si tu penses que nous ne voulons pas t'aider, personne ne te retient de partir.
- Je ne vous connaissais pas sur un ton si... froid.
- Il le faut parfois, pour laver l'honneur. Je veux bien jouer les mecs baba cool pour donner une bonne image des Mikava aux nouveaux arrivants, mais encore faut-il que ces arrivants aient un minimum de respect pour l'organisation qui les accueille.
- Veuillez accepter mes excuses, j'ai parlé trop vite.
- C'est déjà oublié. Tu avais autre chose à ajouter ?
- Euh... je ne crois pas.
La tension redescendait.
- Bien, alors...
- Si, en fait. Désolé de vous interrompre, mais... n'est-il pas possible de faire entrer mes parents chez les Mikava ? Ils sont autant marginalisés que moi, en fait...
- Le fait d'attribuer trois apprentis par chevalier est déjà de trop. Nous avons énormément de travail, et nous privilégions les nouvelles recrues jeunes avec beaucoup d'années devant eux encore, qu'il serait dommage de gâcher. Le conseil des maîtres a dû découvrir tes parents en même temps que toi, mais ils ont préféré te recruter à cause de ces critères. Ils ont peut-être été casés sur une liste d'attente, mais ils ne sont pas prioritaires. Et puis... ils ne sont pas en bonne santé. »
En effet, ma mère a subi de graves blessures suite aux deux accouchements non-assistés qu'elle a subi, c'est un miracle qu'elle soit toujours en vie. Mon père, quant à lui, ne pourrait partir en retraite qu'à 76 ans au vu de sa situation actuelle, et en espérant que son métier ne lui abîme pas plus la santé.
La discussion passée, l'entraînement commence. J'affronte principalement des Migono de niveau ''normal'', je vainc l'adversaire une fois sur cinq. Après deux heures de dures batailles, le ratio descend à une victoire sur trois combats. Sarantu me complimente devant mes progrès plutôt impressionnants.
Nous enchaînons avec un cours. Faclastu est présent. Le chevalier choisit alors d'ouvrir un volet concernant les relations sentimentales.
« Faclastu, tu as une chance énorme d'avoir rencontré Carolia. Le tout est maintenant de ne pas se planter lors de ton rendez-vous au restaurant. Je sais que tu as énormément gagné en assurance, mais rien n'est encore joué tant que la phase de la séduction n'est pas terminée. Je te propose donc une petite mise en situation à ce sujet. Profitons de la présence d'Ardamu pour le faire participer et le laisser répondre en premier.
- Euh... peut-être. Je vous avoue que mon expérience dans le domaine des relations avec le sexe opposé tend vers moins l'infini.
- Et bien, ce sera l'occasion de lui faire changer de signe !
- Excuse Faclastu, il a trop conversé avec Garatu.
- Sans rancune ?
- Sans rancune. Mais je suis pas trop le genre de gars à faire la gueule à quelqu'un pour une blague pas drôle.
- Bien. Mise en situation. Devant la porte du restaurant, en train de... fumer une clope, une charmante demoiselle...
- Je fume pas.
- Ce n'est qu'une mise en situation, Ardamu, laisse-moi continuer. Donc, une charmante demoiselle sort également son paquet de cigarettes et vient fumer à vos côtés. Ardamu ?
- Quoi ?
- À toi de me dire ce que tu fais ensuite.
- Je rentre dans le restau, je peux pas saquer l'odeur de la clope.
- Je viens de te dire que c'est une mise en situation, admettons que tu aimes l'odeur quand même, ce n'est toutes façons pas réel !
- Même avec de l'imagination j'ai du mal...
- Bon, oublions l'histoire de la clope. Admettons que vous êtes devant le restaurant tous les deux et que vous ne fumez pas.
- Mais on fait quoi, alors ?
- J'en sais rien, vous attendez quelqu'un par exemple.
- C'est pas mieux d'attendre à l'intérieur ?
- Bon, on va dire que vous faites rien.
- Poireauter dehors à rien foutre, sous la pluie en plus de ça ? Vous en connaissez beaucoup des gens qui le font ? »
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Re: Vos idées : Fics
Très bon chapitre, j'aime bien la discussion de la fin. Le début est un peu abrupt, mais sinon j'ai beaucoup aimé, continue comme ça.
- Desmu
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Re: Vos idées : Fics
Merci encore pour commenter. Un gars d'un autre forum sur lequel je publie les chapitres a converti les chapitres déjà publiés en format .pdf pour pouvoir les imprimer et épargner les yeux de ceux qui n'aiment pas lire sur PC. Le lien ici, pour ceux que ça intéresse.
Re: Vos idées : Fics
J'ai absolument lu tous les chapitres paru pour le moment de ton récit, Desmu et franchement, bravo ! Ton style d'écriture n'est ni trop littéraire, ni trop simple ce qui fait qu'on peut s'immerger facilement dans l'histoire. Le scénario me plait vraiment, j'accroche et j'attends la suite avec la plus grande impatience ! Selon moi, ce n'est même pas une fan fiction, c'est bel et bien un récit à part entière ! Continue comme ça, continue de nous émerveiller avec ton univers bien à toi ^^!
Ombre dont le destin est promis à la mort. Pardonne les caprices de ta créatrice. Les sentiments sont la mémoire des livres. A jamais ton souvenir demeurera… Soit en certain… et reprend le tranchant d’une lame qui est tienne. Sans animosité aucune et armée de regrets, je suis contrainte, pour annuler le passé… de te tuer. Pardonne Ombre, je profiterai de chaque instant, où dans ma plume, tu vivras.
- Desmu
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Re: Vos idées : Fics
Merci du commentaire.
Chapitre 9


Chapitre 9
Allez, si vous êtes gentils, je vous donne une transition dès Mercredi.Vingt minutes et trois aspirines plus tard, la mise en situation parvient jusqu'à la table de restaurant, où le gars a réussi à inviter la demoiselle à dîner, avec comme plat principal ce fameux poulet rôti bien lourd à digérer à huit heures du soir qui fait la réputation de l'établissement.
« Je maintiens qu'il serait meilleur avec de la mayonnaise.
- Ardamu, s'il-te-plaît. On a déjà eu assez de mal à faire venir cette charmante jeune femme à votre table. Dans la réalité, ça ne se serait pas passé comme ça.
- Ça convient peut-être à Faclastu, la fumée de la clope, mais j'aurais personnellement pas accepté.
- Ah non, moi, j'aime pas non plus.
Sarantu reprend sa respiration.
- Bon, elle vous demande quels sont vos films préférés. Ardamu, quel genre de film lui cites-tu ?
- Je sais pas, je vais jamais au ciné.
- Tu en as bien vu à la télé ?
- Les jours où elle marche, on ne peut capter que les téléfilms familiaux de la première chaîne, je peux pas me faire d'opinion.
- Mmh... Laissons tomber. Faclastu, que dirais-tu ?
- ''Qu'importe le film. Un bon jeu d'acteur fait la différence quelque soit le genre dans lequel il joue. J'admets préférer les comédies ''intelligentes'' malgré tout. Et toi, que préfères-tu ?''
- Très bien. Elle répond qu'elle n'a que peu de temps à consacrer à son côté cinéphile. Elle n'aime pas les pseudo-comédies trash adolescentes, et admet avoir un côté nostalgique et préférer les œuvres où joue Louis de Funès. Ardamu, que répondrais-tu ?
- C'est qui, Louis de Funès ?
- Simplement un acteur relativement connu, capable de faire des mimiques inoubliables, faisant partie de la culture populaire. Dommage qu'il soit mort. Comment peux-tu ne pas le connaître ?
- Je vous l'ai dit, Sarantu, ma télé marche pas. Je connais juste un peu ''Joséphine, Ange Gardien'', vous voyez ce que c'est ?
- J'ai vu deux minutes, ça m'a suffi. Mais ta télé ne marche pas correctement depuis combien de temps ?
- Depuis 1987, d'après mon père.
- Passons. Faclastu ?
- Ah, Louis de Funès ! Sans lui, il n'y aurait pas eu de patrimoine humoristico-cinématographique !
- Pfou, pour dîner avec toi, faut amener un dictionnaire. Tu comptes brancher ta nana avec Le Petit Robert ?
- Ardamu, c'est moi qui mets en situation, ici.
- C'est pas une mise en situation, c'est une confrontation face aux faits. Et si on tombait devant une Ophélia ?
- Tu m'as dit qu'elle est moche comme un pou.
- Oué, mais je parle du niveau intellectuel.
- Il faut savoir faire abstraction des défauts et préjugés pour mettre au devant les qualités qui feront l'amour éternel.
- Bien, Faclastu. Je vois que tu retiens mes enseignements.
- Mouep, je suis pas encore convaincu... »
La fin du cours se termine par une gifle de la demoiselle pour moi, et un baiser de sa part pour Faclastu. Revigoré par cet événement, il nous quitte et passe le relais à Garatu, arrivant tout excité.
« J'ai fait rire quelqu'un ! J'ai fait rire quelqu'un ! hurle-t-il
- Bonsoir, Garatu. répond Sarantu
- Oui, bonsoir. Pardon, chevalier. Mais il faut me comprendre ! J'ai fait rire quelqu'un !
- On a compris. Et si tu t'asseyais plutôt pour nous conter ce qui s'est passé ?
Le plaisantin s'exécute.
- Alors, j'étais à un arrêt de bus. Ce dernier est en retard, comme d'habitude. Un gars est au même arrêt, et là je dis ''Vous connaissez la blague du bus à l'heure ?'' HA HA HA !
- HA HA HA ! reflète mon mentor
- Euh... Ah Ah ? dis-je hésitant
- Ou Brigitte Bardot ! HA HA HA !
- Zut, je me disais aussi qu'on avait pas encore eu une vanne navrante depuis vingt-sept secondes.
Sur ces mots, Sarantu sort un sédatif et l'applique à Garatu. C'est à moi de reprendre la conversation alors que le blagueur reprend ses esprits.
- Vous savez, vous allez un peu vite pour moi. Vous pourriez m'expliquer toutes les tentatives de traits d'humour auxquelles nous avons été soumis depuis l'arrivée de notre ami blagueur ?
- Et bien, déjà, Garatu s'est vautré au sol. Humour visuel classique.
- Ah ? J'avais pas remarqué.
- Tu n'as rien perdu. Après, il y a le ''Vous connaissez la blague du bus à l'heure ?'', ce qui est drôle, car paradoxal. Un bus ne peut être à l'heure, sinon, c'est une plaisanterie, une blague.
- Je prends pas les transports en commun.
- Puis Garatu à cité ce nom d'actrice dont les initiales sont BB pour faire écho à ton Ah Ah, blague alphabétique trop mal placée, suffisant à plomber la soirée.
- Merci, c'est plus clair. Excusez-moi, je fatigue un peu, faut pas m'en vouloir si je suis pas tout.
- Ne t'en fais pas, des choses m'échappent aussi, parfois.
- Au fait, je dois aller aux toilettes, je reviens.
- Attends, Ardamu. Installe ce cylindre quand tu auras fini. »
Sarantu me tend le-dit cylindre. Je retourne à ma chambre par la pensée. Après mon affaire, je suis ses consignes. Sur ma visière s'inscrit ''Motocycle installé'', puis ''Veuillez choisir un modèle de motocycle via votre ordinateur''. N'ayant vu des ordinateurs que sur les pubs affichées en trois mètres sur quatre dans les rues de Villanbourg, des Mac d'Apple dont on vantait l'incroyable supériorité, je ne savais guère comment utiliser celui de ma chambre. Je pousse un bouton mis en évidence, des images s'affichent à l'écran. Parmi elles, l'une me propose justement de choisir un motocycle. On me suggère une vingtaine de variétés, certaines étant plus poussées en vitesse, d'autres en résistance, accélération, maniabilité... Leurs formes vont également du conventionnel au surprenant. Ainsi, un châssis en forme de fusée pyramidale me tape dans l’œil, je le choisis. On me dit que je peux en changer si je le souhaite via cette interface. Je sors de ma chambre, puis du bâtiment.
Pas de chance, Sarantu m'a laissé dans la surprise, et je ne sais pas comment conduire cet engin, encore moins comment le générer. Par hasard, je pense ''Générer motocycle'', ça marche. Le modèle choisi se matérialise devant moi, je n'ai plus qu'à le chevaucher. Bel engin, en forme de tétraèdre presque régulier, avec un réacteur dans chaque coin sur la face arrière, un emplacement creusé pour le pilote au niveau d'une arête, deux roues greffées à la face inférieure, et le nez part en pointe aiguisée, idéale pour empaler. Une fois assis, deux pédales se matérialisent, une sous chacun de mes pieds. Je pousse sur celle de gauche, je recule. Je pousse sur celle de droite, je fonce.
N'ayant jamais piloté de tel engin auparavant, la perspective de me retrouver à environ 200 kilomètres par heure en moins de deux secondes ne m'enchante guère. Pratique pour les cascades sur les dunes, pour apprendre à voler. Mais un des écrans près du guidon m'indique à juste titre qu'on aurait déjà retiré mon permis de conduire sur Terre pour excès de vitesse. Par instinct, je penche le-dit guidon vers la gauche ou la droite pour tourner dans ces directions, en avant et en arrière pour me pencher dans ces autres directions. Une carte s'affiche sur un autre des écrans, m'indiquant le chemin de la salle de cours de Sarantu, d'où vient un signal. Je retrouve ce dernier quelques minutes après, non sans avoir fait quelques chutes, malgré le port de la ceinture de sécurité.
« Ravi de voir que mon émetteur fonctionne toujours bien. Tu sauras où me trouver si je l'active. Alors, cet engin te plaît ?
- Mais pourquoi avoir crée un bolide pareil ?
- C'est toi qui insistais pour ne plus marcher jusqu'à mes salles de cours et d'entraînement. Beaucoup d'autres Mikava sont fainéants au même titre, d'où ce type d'engin. Puis ça peut être utile pour semer un Migono à tes trousses.
- Vous auriez pas... des stages de conduite ou des trucs comme ça ?
- Tu peux t'amuser avec cet engin sur certains circuits implantés à la surface d'Anuva. Parfois, pour le fun, on organise aussi des tournois. Grands Prix, duels à la lame, voire les deux d'un coup, des joutes en quelque sorte. Rassure-toi, personne n'y est blessé, les lames ont autant d'effet que celles des Migono en entraînement, et les véhicules ont des radars de collision frontale probable intégrés, reliés à des systèmes de freinage automatique. On en organise à peu près tous les Dimanche.
- Et y'aurait pas des voitures dans le même genre ?
- Je t'ai proposé le motocycle, il y a en effet des voitures, et d'autres types de véhicules pour les plus haut gradés, comme des chasseurs aériens, des sous-marins, des pelotes de laine rebondissantes... À toi de voir chez les différents codeurs d'Anuva, il s'en donnent à cœur joie pour créer améliorations et autres trucs fantaisistes, et pour les vendre à prix onéreux également, parce qu'il y a quand même des trucs qui servent à rien dans le tas. On dira que les objets usuels sont gracieusement donnés par les chevaliers à leurs apprentis, mais un truc comme le parapluie aérodynamique est juste là pour la décoration.
- On paie comment, ici ?
- En Crédits Anuviens, qu'on obtient en guise de récompense avec une bonne place dans les divers tournois. Avec une meilleure expérience et un plus haut grade, les prix descendent. »
Revenu dans la salle de classe, Sarantu enchaîne avec une autre mise en situation, une soirée alcoolisée entre amis dans laquelle on maîtrise l'art de rester crédible saoul. Encore faut-il avoir des amis, je n'écoute donc que d'une oreille. Personnellement, je me rends ivre seul, à peu près toutes les semaines, généralement le lendemain de ma méditation face au nœud coulant. Je vole un peu de vin de marque distributeur à mon père. Il est dégueulasse, mais je reste désagréable sans en importuner un autre, et il me permet d'oublier les événements détestables de manière plus radicale...
FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE

- Seriugh
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Re: Vos idées : Fics
Ah oui, j'avais lu, mais oublié de commenter. Bon ben toujours aussi bien écrit et intéressant. Je suis pressé d'être Mercredi, jusque là c'était un peu une présentation de la planète, mais après il devrait y avoir plus d'action j'imagine ![:] :]](./images/smilies/sm01.gif)
![:] :]](./images/smilies/sm01.gif)
- Desmu
- Georges
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Re: Vos idées : Fics
Merci encore de commenter.
Première Transition

Première Transition
À quoi bon ?
Pourquoi espérer devenir quelqu'un ? Tous les jours, on entend des histoires de gens qui ont réussi d'un pari idiot. Ils montent une entreprise, qui galère dans les débuts, et qui décolle subitement suite à une distinction de taille. Il y a un gars célèbre de plus sur Terre, et son modèle en inspire d'autres.
En temps et en heure, il chutera. Ce n'est qu'une question de temps. Tout le monde finit par tomber, c'est un fait. Supplanté par un autre dans le même domaine et qui aura su être plus ingénieux, en faillite suite à un manque de moyens engendré par une crise ayant eu lieu à l'autre bout du monde, en manque de matières premières, perte d'un allié précieux, dépression... les moyens d'échouer ne manquent pas.
Il n'a que ce qu'il mérite. À avoir donné un modèle de réussite, il aura voulu en inspirer d'autres. On entend peut-être parler de celui qui réussit, mais on n'entend pas parler des milliers d'influencés qui échouent en ayant voulu suivre son exemple. Chaque jour, des PME ferment, des grandes entreprises déposent la clé sous la porte, des hommes et des femmes sont licenciés pour raisons économiques. Et quand les mauvais moments viennent, ils se déplacent en famille. Suivent après un délaissement de tous, une perte de tout ce qui est cher à nos yeux. Du jour au lendemain, on passe de l'humain riche et respecté à l'humain pauvre et dénigré. Il est tellement facile de tout perdre... Il suffit d'un claquement de doigts...
Tout perdre après avoir donné de faux espoirs à des milliers de personnes. Il y a une justice, quelque part. D'un certain point de vue, la réussite nuit à la santé du peuple.
Plus la réussite dure, plus la chute sera dure. Pourquoi vouloir se démarquer, si c'est pour se plonger dans une immense dépression quand la réalité nous aura rappelé à la médiocrité et à l'échec ? Le meilleur moyen de l'éviter, c'est de rester à son pauvre poste en bas de l'échelle, de vouloir rester conforme, sans ambition, sous peine d'être déçu, fortement déçu.
À quoi bon ?
- ludoyoshi
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Re: Vos idées : Fics
J'ai lu depuis le début et j'ai vraiment adoré ! Au début j'hésitais à tout lire mais là c'est ce que j'ai fais et c'est très bien !

Un Yoshi est vert
Un Yoshi est violet
Un Yoshi est jaune
Un Yoshi est bleu
Un Yoshi est rouge
Un Yoshi est blanc
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- Desmu
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Re: Vos idées : Fics
Chapitre 10
Les jours ont passé. Je suis maintenant ''dérouillé'' d'après Sarantu au niveau du maniement de la lame, et je commence à m'imposer face aux niveaux ''difficile''. Je participe également aux stages de pilotage et parviens à maîtriser mon motocycle, mais pas dans les situations pointues et autres cascades. Garatu a étrangement disparu. Mon mentor n'a plus de nouvelles de lui depuis quelques jours, et il ne peut plus se téléporter à l'endroit où il se situe. Faclastu se prépare toujours pour son rendez-vous, sa tension augmente de jour en jour.
Avec les cours du chevalier, auxquels j'assiste chaque jour, je me suis fait un ami. Marc est qualifié d'intello par une majeure partie de la classe et fréquente peu de monde également. Il ne me bizutait pas, mais ne me parlait pas non plus. J'ai su faire connaissance avec lui à l'occasion d'un travail de binôme. En effet, grâce à l'absence d'un gars de ma classe, nous étions en nombre pair ce jour-là. Marc avait également été délaissé, nous nous sommes donc retrouvés à plancher sur un petit dossier d'Histoire-Géo sur la Seconde Guerre Mondiale. Avec quelques clés de conversation que m'a enseigné Sarantu, je me suis trouvé à parler super-héros avec mon collègue. Pour la première fois à la récré, je n'attendais plus péniblement devant la salle de classe, je conversais avec lui, et il s'est révélé être un grand fan de super-héros et posséder une collection de comics remplissant plusieurs étagères. Chaque jour, il m'en prête un, que je lui rends le lendemain après l'avoir lu. Embarrassé de ne rien pouvoir lui prêter, cela me gène toujours, mais il a le cœur sur la main. Cela ne manque pas de jaser auprès des autres. L'ancien ''intello'' est devenu le ''pédé du connard''. Mais ce surnom ne fut qu'éphémère, car son porteur a pu glisser un billet à Wolfgang Ulrich pour qu'il soit oublié.
Une journée commence, mais quelque chose d'inhabituel se produit. Alors que j'attends que la journée de cours commence, finissant le comic de Marc, j'aperçois justement Wolfgang Ulrich et deux de ses amis pousser Blanche dans une ruelle. Mon instinct de curieux me fait ranger la lecture dans mon sac pour me plaquer contre un mur et épier discrètement ce qu'il se passe dans la ruelle. Je vois WU et ses deux sbires brutaliser Blanche, gisant en larmes et en sang au sol. Elle tente de parler.
« Non, Wolfgang ! Pitié !
- Tu refuses la sodomie, salope ! Tu vas voir qu'on refuse rien à Wolfgang Ulrich !
- Pitié ! Arrête ! Tu me fais mal !
- Puisque tu la refuses, je te la ferai de force ! »
Voilà une situation compliquée, que je pourrais résoudre en Mikava. Je suis en effet invisible aux yeux des humains non-initiés sous cette forme, mais mes actions ont malgré tout un impact. Je jette un œil autour de moi pour garder ma transformation discrète, puis je revêts mon armure, entre dans la ruelle, et m'apprête à me servir de ce grappin dont je me suis équipé récemment pour agripper Blanche et l'éloigner de ses ravisseurs. À ce moment, WU se retourne.
« Tiens, tiens, voilà qui est intéressant. Vous voyez ce que je vois, les gars ? Un Mikava !
Il marque un temps, contemplant visiblement mon air surpris.
- À ce que je vois, c'est l'heure de casser de l'optimiste... Rekopo, Tesseto, avec moi ! »
Horrifié, j'assiste à la matérialisation de trois Migono face à moi ! Les deux sbires ont en effet les noms donnés par WU, tandis que ce dernier se nomme désormais Belto. M'étant déjà entraîné contre plusieurs hologrammes de Migono en une seule fois, je suis malgré tout sorti de ces entraînements théoriquement démembré. Et là, les lames sont réelles.
Blanche, quant à elle, semble ne plus nous voir ni nous entendre, et en profite pour fuir dans la direction opposée. Je range alors mon grappin et sors ma lame, tandis que mon adrénaline se met à atteindre un pic critique.
Hurlant de manière horrible, les trois se jettent sur moi. Les coups sont extrêmement rapides, et je parviens difficilement à tous les esquiver. Plusieurs me frôlent sans me blesser, mais endommagent malgré tout mon armure. Heureusement, je parviens rapidement à désarmer un Migono. Sa lame part en hauteur et retombe en donnant un coup mortel à la colonne vertébrale de l'autre sbire. Celui-ci s'effondre au sol, mais les deux adversaires restants n'expriment aucune compassion. Belto ramasse la lame l'ayant tué, range son bouclier et se met à m'attaquer avec elle, en plus de sa propre lame. L'armure du sbire mort disparaît, laissant son cadavre humain ensanglanté gisant au sol. Maintenant désarmé, le second sbire ne peut plus que parer, et préfère donc fuir en matérialisant une porte, vers Obero sans doute.
Ne restent alors plus que WU et moi, peinant à parer les coups de ses deux lames. Son style d'attaque est plutôt sauvage, et la force de ses coups dévie mes accessoires vers moi. Par plusieurs fois, je suis presque tranché par ma propre arme. Je n'avais encore jamais défié d'adversaire armé de plusieurs lames, et me vois contraint d'utiliser majoritairement le bouclier, ayant renoncé à désarmer Belto avec ma propre lame. Il appuie alors sur un bouton sur le manche de sa lame, et celle-ci se met à rayonner pendant quelques secondes. En deux coups, il parvient à couper en deux mon bouclier et mon arme. Désarmé, je recule dans un coin de la ruelle formé par une poubelle et un mur. La lame de Belto cesse de rayonner. Inutile d'essayer de me défendre avec les poings et les pieds, face à la lame, ils ne pourront rien faire. Cerné, je sens ma fin venir. J'ai voulu être héroïque, suivre les exemples donnés par les super-héros, cela a mené à ma perte. D'une voix vocodée, lugubre, caverneuse, mon adversaire prononce la sentence.
« À toi de faire un choix, Mikava. Ou tu nous rejoins, ou tu meurs. »
Subitement, je me résigne. Après tout, je voulais me suicider chaque semaine avant de m'embarquer dans cette histoire. Encore un échec. Une fois de trop, la chance n'était pas avec moi. Tant qu'à faire, que je sois tué où que je me suicide, je meurs dans tous les cas. M'étant calmé, je penche la tête en avant et ferme les yeux.
« Tuez donc. Je suis une erreur de la nature, de toutes façons. Je ne mérite pas de vivre, mais je n'ose pas me suicider. Mettez fin à mes jours, je vous en supplie. »
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Re: Vos idées : Fics
/!\ POUR DESMU, SI JE VOUS SPOILE C'EST VOTRE PROBLEME /!\
Excellent, comme d'habitude, j'ai hâte de voir la suite 
Spoiler :

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Re: Vos idées : Fics
Excellent, j'ai commencé à lire et j'adore. Je n'en suis qu'au chapitre 6 mais sincèrement, c'est bien écrit, c'est prenant, vraiment c'est génial !
Continue comme ça !
Continue comme ça !
Spoiler :

- Seriugh
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Re: Vos idées : Fics
Effectivement, j'avais raison : l'action commence à arriver dès maintenant. Et il y a du suspense en plus, qu'il n'y avait pas avant. Et sinon je pense pareil que BL, c'est ce qui me parait le plus logique (mais je ne sais pas si j'y aurais pensé tout seul).
Je suis pressé de lire la suite en tous cas !
Je suis pressé de lire la suite en tous cas !
Re: Vos idées : Fics
Voilà ma fiction nommé 2 enfants recherchés une fic basé sur l'univers Pikmin j'espère qu'elle sera sur le site
je suis en train de monter un site avec quelqu'un mais sa avance pas fort :-("
2 enfants recherchés.
Mon aventure a commencé quand je me suis écrasé sur une planète pendant mes vacances, une planète étrange … une planète rempli de créatures étranges… les Pikmins… ces créatures sont très serviables, elles m’ont aidé à remonter mon vaisseaux et à revenir ma planète. Je ne cache pas que j’étais triste de les quitter.
Arrivé sur ma planète « Hocotate. » Mais avant de voir ma famille, j’allais rendre visite au président de la société ou je travaille (il se nommait Sanshiro) pour lui raconter mes drôles de vacances. Mais il n’était pas d’humeur, à peine sortit de mon vaisseaux il me racontait déjà son problème. Un grave problème, un grave problème concernant la société. Le président était accompagné d’une personne qui était un peu plus grand que moi, il était un peu enveloppé. Il s’appelait « Louie ». Voilà ce que Sanshiro m’avait dit :
- Un horrible lapin a volé toutes les carottes que Louie devait transporter ! Hocotate a de graves problèmes de financiers ! Olimar, ton vaisseau est 1 des seuls biens qui ai de la valeur ici…
Aussitôt des machines prirent mon pauvre vaisseau, je n’avais plus rien… à part un disque que j’avais emmené pour mes enfants. Sans le vouloir le disque me glisse des mains, les détecteurs du vaisseau de Louie l’analysèrent… cette objet avait une valeur de 100 Pokos !
Très vite Sanshiro me dit à moi et à Louie de revenir dans la planète Pikmin dans le but de rechercher d’autres trésors pour rembourser la dette de l’entreprise.
La dette fut remboursée grâce à l’aide des Pikmins et de Louie, et bien sûr après je devais revenir sur ma planète. Mais Sanshiro avait une autre idée derrière la tête. Il voulait que je reparte encore une fois sur la planète Pikmin, pour rechercher les derniers trésors pour que l’entreprise devienne riche. Mais il y avait un problème… j’avais oublié Louie sur la planète ! Le président décida donc de m’accompagner sur la planète. Après des jours de travail, nous avons trouver tout les trésors. Retrouvé Louie. Sa y es je devais rentré sur ma planète ! 10 minutes après j’étais sur Hocotate, je regardais le ciel en pensant aux Pikmins. Louie était assis sur un banc, plongé dans ses pensées. Je m’approchais de lui pour lui demander un service.
- Louie tu peux me donner une feuille ?? le demandais-je.
- Hum… répondit-il en fouillant dans sa poche. J’en ai 1, tient, c’est pour quoi faire ? Tu as un stylo ?
- Oui j’en ai 1, c’est pour écrire quelque chose à ma famille.
- Tu ne vas pas repartir sur cette planète ?! dit Louie en s’agitant dans tous les sens.
- Oui… répondit-je sèchement. C’est rien que pour 3 jours… je veux voir une dernière fois les Pikmins.
- Tu tiens vraiment à eux. Dit Louie avec un mince sourire.
- Oui. Bon j’écrit la lettre, dit leur que je suis vraiment désolé, mais j’ai besoin de revoir une dernière fois les Pikmins… tu comprends ?
- Ok je leur dirais. Répondit Louie en me regardant curieusement écrire ma lettre.
- Voilà. Dis-je en lui tenant ma lettre. Au revoir !
- Au revoir Olimar !
- Euh… je peux t’emprunter ton vaisseau ? dit-je d’un air gêné.
- Oui. Répliqua Louie sans se soucier de son vaisseau. Avec l’argent de l’entreprise je pourrai m’en acheter un meilleur !
- Ok !
Bon bah voilà… je quitte ma planète pour rester quelques jours de plus sur la planète Pikmin… après je reprendrais les bonnes habitudes, je me lève à 8h00, je vois mon président qui me donne des marchandises à transporter dans divers planètes, après je mange avec Louie et les autres, enfin c’est la vie normal de à peu près toute grandes personnes. Je voyais dans l’espace, bientôt je passais un trou noir, après ça je vis la planète bleue des Pikmins. Enfin je suis arrivé ! Avec beaucoup de prudence je me dirigeais sur la planète, j’avais pas envie de m’écraser sur la plante encore une fois ! Je cherchais un endroit calme et paisible pour atterrir sur la planète. Enfin je vis des petites créatures qui marchaient tranquillement, bientôt elles virent mon vaisseaux , j’atterrit et j’aurai du m’en douter c’était les Pikmins !
-Bonjours… sa va depuis ? dis-je bêtement en les voyant. Je vais rester sur cette planète encore quelques jours, bientôt je reprendrais mon travail. Je pense que Louie et Sanshiro ont eu leurs doses... je suis venu tout seul.
Les Pikmins me regardèrent avec de gros yeux, ils s’échangèrent un regard et s’éloignèrent de ma vue.
- Ils ne veulent plus de moi ? soupirais-je.
Je respirais un grand coup puis je me décidais de les suivre discrètement, je traversais un grand buisson, je commençais à entendre des petits bruits puis un grand bruit d’explosion, comme si quelque chose était tombé du ciel… c’était un œuf cassé, un liquide jaune coulait dedans, ce n’était pas tout on dirait qu’il y avait un…
- Iiiin !
A mon grand soulagement ce n’était pas un monstre mais les Pikmins ! Ils tinrent une sorte d’objet formé de plusieurs branches de bois attachés ça ressemblait à un Pikmin…
Ils ne m’ont pas oublié ! Je vais passer 3 jours tranquille, dans un endroit tranquille, avec les Pikmins sans chercher les ennuis…

2 enfants recherchés.
Mon aventure a commencé quand je me suis écrasé sur une planète pendant mes vacances, une planète étrange … une planète rempli de créatures étranges… les Pikmins… ces créatures sont très serviables, elles m’ont aidé à remonter mon vaisseaux et à revenir ma planète. Je ne cache pas que j’étais triste de les quitter.
Arrivé sur ma planète « Hocotate. » Mais avant de voir ma famille, j’allais rendre visite au président de la société ou je travaille (il se nommait Sanshiro) pour lui raconter mes drôles de vacances. Mais il n’était pas d’humeur, à peine sortit de mon vaisseaux il me racontait déjà son problème. Un grave problème, un grave problème concernant la société. Le président était accompagné d’une personne qui était un peu plus grand que moi, il était un peu enveloppé. Il s’appelait « Louie ». Voilà ce que Sanshiro m’avait dit :
- Un horrible lapin a volé toutes les carottes que Louie devait transporter ! Hocotate a de graves problèmes de financiers ! Olimar, ton vaisseau est 1 des seuls biens qui ai de la valeur ici…
Aussitôt des machines prirent mon pauvre vaisseau, je n’avais plus rien… à part un disque que j’avais emmené pour mes enfants. Sans le vouloir le disque me glisse des mains, les détecteurs du vaisseau de Louie l’analysèrent… cette objet avait une valeur de 100 Pokos !
Très vite Sanshiro me dit à moi et à Louie de revenir dans la planète Pikmin dans le but de rechercher d’autres trésors pour rembourser la dette de l’entreprise.
La dette fut remboursée grâce à l’aide des Pikmins et de Louie, et bien sûr après je devais revenir sur ma planète. Mais Sanshiro avait une autre idée derrière la tête. Il voulait que je reparte encore une fois sur la planète Pikmin, pour rechercher les derniers trésors pour que l’entreprise devienne riche. Mais il y avait un problème… j’avais oublié Louie sur la planète ! Le président décida donc de m’accompagner sur la planète. Après des jours de travail, nous avons trouver tout les trésors. Retrouvé Louie. Sa y es je devais rentré sur ma planète ! 10 minutes après j’étais sur Hocotate, je regardais le ciel en pensant aux Pikmins. Louie était assis sur un banc, plongé dans ses pensées. Je m’approchais de lui pour lui demander un service.
- Louie tu peux me donner une feuille ?? le demandais-je.
- Hum… répondit-il en fouillant dans sa poche. J’en ai 1, tient, c’est pour quoi faire ? Tu as un stylo ?
- Oui j’en ai 1, c’est pour écrire quelque chose à ma famille.
- Tu ne vas pas repartir sur cette planète ?! dit Louie en s’agitant dans tous les sens.
- Oui… répondit-je sèchement. C’est rien que pour 3 jours… je veux voir une dernière fois les Pikmins.
- Tu tiens vraiment à eux. Dit Louie avec un mince sourire.
- Oui. Bon j’écrit la lettre, dit leur que je suis vraiment désolé, mais j’ai besoin de revoir une dernière fois les Pikmins… tu comprends ?
- Ok je leur dirais. Répondit Louie en me regardant curieusement écrire ma lettre.
- Voilà. Dis-je en lui tenant ma lettre. Au revoir !
- Au revoir Olimar !
- Euh… je peux t’emprunter ton vaisseau ? dit-je d’un air gêné.
- Oui. Répliqua Louie sans se soucier de son vaisseau. Avec l’argent de l’entreprise je pourrai m’en acheter un meilleur !
- Ok !
Bon bah voilà… je quitte ma planète pour rester quelques jours de plus sur la planète Pikmin… après je reprendrais les bonnes habitudes, je me lève à 8h00, je vois mon président qui me donne des marchandises à transporter dans divers planètes, après je mange avec Louie et les autres, enfin c’est la vie normal de à peu près toute grandes personnes. Je voyais dans l’espace, bientôt je passais un trou noir, après ça je vis la planète bleue des Pikmins. Enfin je suis arrivé ! Avec beaucoup de prudence je me dirigeais sur la planète, j’avais pas envie de m’écraser sur la plante encore une fois ! Je cherchais un endroit calme et paisible pour atterrir sur la planète. Enfin je vis des petites créatures qui marchaient tranquillement, bientôt elles virent mon vaisseaux , j’atterrit et j’aurai du m’en douter c’était les Pikmins !
-Bonjours… sa va depuis ? dis-je bêtement en les voyant. Je vais rester sur cette planète encore quelques jours, bientôt je reprendrais mon travail. Je pense que Louie et Sanshiro ont eu leurs doses... je suis venu tout seul.
Les Pikmins me regardèrent avec de gros yeux, ils s’échangèrent un regard et s’éloignèrent de ma vue.
- Ils ne veulent plus de moi ? soupirais-je.
Je respirais un grand coup puis je me décidais de les suivre discrètement, je traversais un grand buisson, je commençais à entendre des petits bruits puis un grand bruit d’explosion, comme si quelque chose était tombé du ciel… c’était un œuf cassé, un liquide jaune coulait dedans, ce n’était pas tout on dirait qu’il y avait un…
- Iiiin !
A mon grand soulagement ce n’était pas un monstre mais les Pikmins ! Ils tinrent une sorte d’objet formé de plusieurs branches de bois attachés ça ressemblait à un Pikmin…
Ils ne m’ont pas oublié ! Je vais passer 3 jours tranquille, dans un endroit tranquille, avec les Pikmins sans chercher les ennuis…
Dernière modification par Mario54 le 02 janv. 2012, 20:17, modifié 1 fois.