Vos idées : Fics

[???]

soit les fics c'est vraiment pas fait pourquoi et tu devrais plutôt te concentrer sur les SCs parce qu'eux au moins ils ont au moins un point positif : la réalisation.

Non, parce que les vrais SC ne serait pas potable sans un bon scénario.

[Love baby's <3]

Bien, Luigi 78, si j'étais devant toi, je rirais et j'applaudirais. J'ai lu l'introduction et le 1 et j'ai adoré quand Peach mettait une claque à Mario, c'était bien fait.
Pourrais tu lire ma fic: Ici et ici. Mario se fait souvent claquer.

[???]

PUBPUBPUB!

C'est ton seul commentaire positif et un peu douteux.

[Agent]

Vais faire un petit coup de gueule, et si.
Quand vous commentez, arrêtez de dire "Merdique", "pourri", "ça pue", etc... des commentaires de ce genre, ça donne plus l'impression d'insulter que d'aider donc ça serait sympa de parler sans tout ces mots, même si la personne a fait un truc complètement foireux. Merci.

Désolé d'avoir un vocabulaire courant de merde.
C'est quand même tout à fait vrai, c'est une façon un peu insultante de critiquer une fic mais c'est une des nombreuses façons de faire un commentaire franc. Et puis j'ai déjà essayé d'aider Luigi78 en fics, à plusieurs reprises. Mais là quand je vois qu'il continue à faire le même genre de fics merdiques quelques mois plus tard comme s'il avait déjà complètement oublié toutes nos critiques, j'ai pas du tout l'intention de répéter les mêmes conseils sachant qu'il nous a prouvé à plusieurs reprises que cela ne l'aidait aucunement. Je veux bien jouer au gentil mais voilà quoi.

[???]

Désolé mais franchement le commentaire d'Agent était justifié et très complet.

Et puis c'est pas comme si c'était la première fic comme ça de Luigi78 donc faut pas s'étonner qu'on puisse s'énerver.

[Light the Fab'Dragon]

J'ai pas dis que son commentaire était un commentaire de merde qui va direct au chiotte, j'ai dis d'arrêter les mots du genre "daubes", "pue", etc... car ça insulte plus qu'autre chose.

[???]

Les insultes ça insulte, t'es trop fort!

[Light the Fab'Dragon]

T'es gentil mais la ferme.

[Agent]

Ces mots décrivent très bien la fic de Luigi78, ils sont peut-être plus insultants que d'autres mais ils représentent la même réalité. Je veux bien croire que les insultes c'est pas l'idéal mais je vois vraiment pas pourquoi il faudrait changer de vocabulaire. De toute façon, insultes ou pas Luigi78 nous a déjà démontré à plusieurs reprises qu'il ne comprendra pas grand chose.

[KorHosik]

N'allez pas vous taper dessus hein, restez zen

Pour ma part, je ne vois pas l'intérêt d'utiliser des insultes pour commenter la création d'une autre personne. Vous savez, la langue françaises est suffisamment riche pour faire passer ce que vous ressentez sans employer des "merdique" ou autres "c'est de la daube".

Ca ne fait avancer en rien et, même si le reste du post est complet, ça n'apportera rien de positif.
C'est comme si votre prof de maths vous dirait que vous n'êtes qu'un bon à rien : ça vous enfoncera plutôt que de vous encourager, non ?

Parfois, il vaut mieux ne rien commenter plutôt que de laisser libre cours à sa sauvagerie.

Si un membre ne fait pas d'effort, ignorez-le, tout simplement.

[Agent]

Oui mais l'école ils ont inventé le système des notes, quand un professeur donne une mauvaise note à un élève il sous-entend qu'il a fait un examen de merde même s'il ne le dira pas mot à mot car il assume que l'élève en question aura bien le temps de le comprendre. Et puis il y a toujours des camarades pour insulter ceux qui ont des moins bonnes notes, alors ici c'est la même chose pour ceux qui font de moins bonnes fics, même si ce n'est pas le comportement idéal à adopter. Mais je pense quand même que sans les insultes, le message aurait eu pratiquement la même signification.

[Maritin]

Bon, je up ce topic pour deux raisons:

La première, c'est que Link275 et ses "collègues" ont décidé d'arrêter Nintendofic.

La deuxième, c'est que je vais remettre ma fic, La légende géante, ici.

Prologue:

Spoiler :

Il existe depuis bien des lunes, une légende parlant d’un « entre les mondes » du jeu vidéo, dans laquelle il existe des innombrables héros concernant des mondes incroyablement différents les uns des autres...

Cette légende est enfin parvenue jusqu’à nous et moi, grand fan de jeux vidéo que je suis, j’ai décidé de vous la conter.

Il était une fois, il y a bien longtemps, dans un univers parallèle à une multitude d’autres, se créa une planète. Cette planète, bien qu’étant faite d’eau et de roche, ne contenait pas beaucoup de vie car, celle-ci, ayant fait des erreurs irréversibles, disparaissait peu à peu. C’est alors qu’elle créa de nombreux portails spatio-temporels qui lui permirent de s’échapper, mais, ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’en partant de cette planète, elle la condamnait, et les mondes reliés aussi.

C’est ainsi que commença une des plus grandes légendes de tous les temps.

Chapitre 1: Explications:

Spoiler :

Quelque part, au sous-sol du royaume champignon...

« -Goombella, je crois que nous tenons le scoop du siècle !

-Qu’y a-t-il professeur Goomstein ? Professeur ? Prof ? GOOMSTEIN ? »

Quelque part, sur une planète inconnue...

« -C’est incroyable, on dirait le même téléporteur que Mario avait utilisé pour s’évader de la base de Cruxinistre, mais plus puissant... »

Goombella apparut par le téléporteur.

« -Professeur, vous m’avez fait une peur bleue... Oh, mais oû sommes nous ?

-Je pense que nous sommes sur une planète à des milliers d’années lumières de la notre, répondit fièrement Goomstein.

-Ben elle a l’air vide cette planète, à part cette porte... Et cette herbe haute à part autour du portail... Vous savez quoi professeur, demanda la goomba ? J’ai l’impression que les herbes courtes forment un champignon, vu du ciel.

-Tu dois avoir raison mais nous ferions mieux de rentrer, nous reviendrons demain, dit le professeur avant qu’ils ne prennent tous deux la porte de téléportation.

Trois jours plus tard, sur la baie Noki de l’île Delfino.

« -Ah Luigi, un peu de vacances ça fait du bien, non, demanda Mario ?

-Tu as raison frérot mais j’ai le sentiment que ça ne va pas durer, dit Luigi, à la surprise de Mario.

-Bah, tu dis n’importe quoi petit frè... Huh! Oh, incroyable !

-Quoi ? Quoi ? Quoi ?

-C’est Goombella qui m’écrit, s’écria mario. Voilà ce qu’elle m’a écrit : « Salut Mario, c’est moi, Goombella. Cela fait des lustres que l’on ne s’est pas vu. Je t’envoie ce message car Goomstein a trouvé le scoop scientifique et archéologique du siècle ! Ce serait cool que tu en profites pour venir nous revoir. Je ne sais pas où tu es en ce moment ni ce que tu y fais mais je te jure que si tu viens à son labo, tu ne seras pas déçu ! Je t’attendrais autant de temps qu’il le faudra. Signé : Goombella »

-Donc j’avais raison, rétorqua Luigi. Vacances gâchées en perspectives...

-Euh... Désolé Luigi, supplia Mario, mais est-ce que l’on peut y aller ?

Et, ils partirent donc en direction de Port-Lacanaïe.

Une semaine plus tard, ils arrivèrent en vue de Port-Lacanaïe (Ben oui, c’est long le trajet île Delfino - Port-Lacanaïe).

« -Tu te rappelles Luigi, demanda Mario ?

-Quoi ? Tous ceux qui étaient sensés être mes alliés, demanda Luigi à son frère ?

-Tiens, c’est vrai ça, j’avais oublié. Niark, niark, niark.

-Rhô, ça va ! »

Pour éviter la dispute familiale, nous allons passer directement à leurs retrouvailles avec Goomstein et Goombella.

« -MARIOOO, cria Goombella, pourquoi ne m’as-tu pas donné de nouvelle depuis notre folle aventure ?

-Ben, euh...

-Ne dis rien, je te pardonne de toute façon.

-Bonjour professeur, dit Luigi, comment allez-vous ?

-...

-Professeur ?

-Luigi, vous savez bien que quand le prof fouille ses documents, il les fouille, interrompit Goombella.

-Quoi, qui a parlé, questionna le professeur ?

-Euh... Bonjour professeur... Allez-vous bien, questionnèrent les frères en chœur ?

-Oh, Mario, Luigi, depuis quand êtes-vous ici ?

-Depuis quelques secondes, répondit la goomba pour ne pas faire gaffer le duo. Je suppose qu’ils veulent savoir la raison de leur visite ?

-Laisse les parler Goombella !

-Donc, euh, vous nous avez fait venir ici pour quoi, cher professeur, demanda Luigi ?

-La raison de votre venue tient dans ce petit journal intime, vers les dernières pages, oû il est écrit : 16 Janvier 1589 : Nous allons devoir quitter cette planète qui ne cesse de se rebeller contre nous ! Mon père est déjà parti au téléporteur des trois triangles, nous nous apprêtons à le rejoindre, nous terminons de préparer nos effets personnels. J’espère que le nouveau monde sera plus accueillant que le nôtre. 17 Janvier 1589 : Une tempête énorme nous a empêchés d’arriver à l’île des trois triangles. Nous allons devoir prendre celui du champignon, le plus proche. Papa, te reverrais-je un jour ? Je l’espère ! Nous allons passer sur l’île vers 17 heures. Je t’attendrai, oh jour céleste, dans lequel je pourrai retrouver mon valeureux père. Mais je ne suis pas fâché de quitter Sarpendu !

-Sarpendu ?

-Professeur Goomstein est persuadé qu’il s’agit de la planète sur laquelle nous avons été téléportés, Luigi, expliqua Goombella.

-Puis-je continuer, demanda le professeur avant de recommencer la lecture. Hum Hum... 18 Janvier 1589 : Nous sommes passés par le portail du champignon et nous sommes retrouvés dans un endroit bizarre. Nous étions dans une sorte de galerie souterraine creusée par une taupe gigantesque mais il n’y faisait pas noir car on avait attaché des lanternes aux murs. Nous avons aussi découvert de drôles de choses un peu cylindriques et d’un vert éclatant. Je sens que ce monde nous réserve encore bien des surprises... 19 Janvier 1589 : Deux des membres de notre groupe ont disparus ce matin. Nous avons tous cherchés mais, au lieu de retrouver des perdus, nous avons perdus d’autres personnes. Nous ne savons pas ce qui se cache ici, mais cela ne me dit rien de bon... 21 Janvier 1589 : Je n’ai pas écrit hier car j’étais bouleversé, ma mère a disparu et nous avons retrouvé le collier dont elle ne se sépare jamais. Je pense que je dois retrouver le monstre capable de lui faire du mal et de la venger. 22 Janvier 1589 : Je me suis éloigné du groupe un peu de trop, je suis tout à fait seul maintenant. Je sais quel monstre est capable d’avoir tué ma mère ! Il s’agit d’une drôle de plante avec des dents très pointues et de couleur rouge à pois blancs. J’ai commencé à me faire une arme pour la tuer. Je te promets, où que tu sois, que je vais venger maman, papa !

-Donc, ils ont fait des rencontres tragiques avec des plantes piranha, je suppose, dit Mario.

-Je n’ai pas tout à fait fini, jeune impertinent !

-Désolé professeur...

-Je reprends donc : 23 Janvier 1589 : Je pense que c’est la fin de ma vie, mon arme a été inefficace contre ce monstre. De plus, d’autres monstres on fait leur apparitions : Des petits êtres sans bras ni mains mais à l’air très méchant. J’en ai peur de dormir mais je suis fatigué de ce voyage... Adieu papa, j’espère que tu auras eu plus de chance que nous là où tu es allé. Cela finit là, termina prof.

-Donc, en résumé, nous avons le journal d’un gosse d’une autre planète qui, via un téléporteur, serait arrivé jusqu’aux sous-sols du royaume avant de mourir, demanda Mario ?

-C’est à peu près ça, en fait, ce sur quoi il était tombé étaient bien des plantes piranha mais pas des goombas, expliqua le professeur.

-Il s’agit en fait de Noomza, une très ancienne sous évolution des goombas vivant, selon les experts archéologues, auraient vécus entre 1520 et 1600, continua Goombella. Il paraît qu’ils étaient carnivores et mêmes cannibales dans l’âme. Heureusement, cette époque est passée depuis plus de quatre siècles... BRR, j’en frissonne rien que d’imaginer à quoi on devait ressembler...

-Je n’ai pas encore compris à cent pourcents pourquoi vous nous avez appelez, dit Luigi, convaincu qu’il aurait dû rester sur l’île Delfino.

-C’est très simple cher ami, j’aimerais que vous visitiez cette planète et ses portails de plus près.

-Mais, professeur, comment allons nous pouvoir protéger la princesse d’une attaque de Bowser ?

-Ne vous inquiétez pas Mario, Je suis sûr que l’on saura s’occuper de Bowser même si il n’a pas l’air de vouloir revenir, dit Goombella ... »

Quelque part, Entre les volcans et les précipices...

« -Maudits plombiers, j’en ai marre, pourquoi ce sont toujours eux qui gagnent... Je n’ai pas envie de subir encore des centaines de défaites mais le pire, c’est qu’ils gagnent partout. Aussi bien aux karts, qu’au baseball, qu’au basket-ball et j’en passe... J’en ai absolument marre ! Je crois que je vais rester au lit bien longtemps à ruminer mon trop grand taux de défaites contres ces maudits plombiers de malheurs. Je les hais, je les hais, je les hais ! »

Pour suivre normalement le cours de cette histoire, retournons voir du coté de nos amis.

« -Mais professeur, vous ne pouvez pas nous choisir nous, continua Luigi, Nous sommes plus qu’indispensables aux yeux de la population et puis, Bowser n’est pas le seul, il se peut toujours que Wart vienne à l’attaque du royaume champignon après sa conquête ratée du monde de Subcon.

-Luigi, parfois je trouve que tu es un vrai génie, mais un génie à plumes et à bec... Tu es pire qu’une vraie poule mouillée... Enfin bref, moi j’accepte, cher professeur !

-Oh non, Mario, s’il te plait...

-Luigi, que tu le veuilles ou non, nous partons vers de nouvelles aventures !

-Bon, d’accord, tu as gagné frérot. Je pars préparer les valises, dit Luigi, avec une grande tristesse... »

Chapitre 2: Une grotte sous basse surveillance:

Spoiler :

« -On est encore loin ? »

Nos quatre héros avaient pris la direction du portail depuis bien longtemps. Ils en avaient profité pour s’arrêter et pique-niquer près du fameux tuyau menant au minus-world.

Les yeux bleus de Mario brillaient d’une grande vivacité ainsi que d’une curiosité à l’apparence énorme. Sa belle salopette bleue avait quelque chose d’unique en son genre. Il se l’était acheté à l’île Delfino et elle était encore immaculée. Son t-shirt rouge virait un peu au blanc suite à de nombreux passages dans les machines à laver à cause des jus d’ananas qu’on leur servait. Seule sa casquette, bien vissée sur son crâne, semblait encore être celle qu’il portait depuis toujours et laissait échapper un peu de ses cheveux bruns. Il était heureux d’être là, tout simplement.

Luigi lui, comme à son habitude dans les coins sombres et reculés du royaume, était nerveux. Sa nervosité était telle qu’il s’était déjà mordu la langue quinze fois. Ses yeux bleus avaient un peu viré au vert depuis le début du voyage. Pour peu, on aurait pu croire que les deux frères ne l’étaient pas. Lui, contrairement à Mario, avait passé la plupart de ses vacances en maillot de bain vert à fleurs. Ses vêtements étaient aussi bleus et verts que la nuit terrifiante qu’il avait du passer pour libérer son frère il y a une dizaine d’années. Sa moustache noire tremblait plus fort que Luigi frémissait. Sa moustache, si elle était fausse, se serait déjà décollée depuis longtemps.

Goombella, elle, portait le casque que son nouveau petit ami lui avait offert. Son casque était muni d’une lampe frontale plutôt forte. Il suffisait qu’elle regarde un coin sombre pour en voir tous ses traits. Son casque était rouge avec juste deux belles petites rayures jaunes sur les côtés formant des petits dessins d’éclairs. Elle en était fière mais, ce qui faisait le plus sa fierté était de pouvoir remarcher aux côtés de Mario.

Goomstein ne s’était pas coiffé et ses cheveux étaient un peu plus ébouriffés que d’habitude. Ses lunettes loufoques avaient été rayées par une mauvaise chute. Heureusement pour lui, elles n’étaient pas trop cassées et il pouvait encore voir assez distinctement.

Le tunnel dans lequel ils avançaient semblait ne devoir jamais se finir et avait été creusé il y a peu. Il s’élargissait de plus en plus avant de rétrécir pour ragrandir à nouveau.

« -Non Luigi, répondit le professeur.

-Vous êtes sûrs ?

-Luigi... Calme toi, il ne nous est rien arrivé jusque là, alors pourquoi nous arriverait il quelque chose maintenant, dit Mario, s’efforçant de calmer son frère? »

Ils débouchèrent soudain dans une énorme cavité semblant montrer à elle seule la grandeur des sous-sols du royaume.

« -Nous sommes arrivés, dit finalement la goomba, toujours aussi fière de la balade.

-C’est... C’est ici ? Je ne me sens pas plus rassuré qu’avant, geignit Luigi, sans surprise de ses camarades... »

Il est vrai, la salle était imposante, elle ne voulait aucunement rassurer ceux qui y rentraient.

L’entrée du portail avait tout l’air d’être normal... S’il ne se trouvait pas dans les labyrinthes de grottes. On avait l’impression que l’herbe était verte derrière.

Mario s’élança sans un mot, couru vers le portail et y entra.

Les autres, après la grande surprise que Mario leur a infligée, le virent ressortir... trempé et grelottant.

« -Mario, que s’est-il passé ?

-Brr... Il... Il fait un froid de canard là-bas. À mon avis, brr, je suis arrivé pendant un genre de cyclone. Le vent devait bien souffler à du cent vingt à l’heure. Et, brrr, qu’est-ce qu’il pleut.

-Mais, ça me rappelle, dit soudain Luigi, dans le journal intime de ce... euh... de cette personne : « Une tempête énorme nous a empêchés d’arriver à l’île des trois triangles. Nous allons devoir prendre celui du champignon, le plus proche. ». Je suis persuadé que c’est de cette tempête là qu’il parlait !

-Mais comment allons-nous faire alors, s’inquiéta Mario ? On ne va quand même pas aller sur Sarpendu avec un temps pareil ! »

C’est ainsi qu’il fut décidé d’établir un campement près du portail en espérant que le vent et la pluie perdront de la force.

Pendant ce temps là, à quelques mètres de la : « Encore ces deux goombas ?! Et ils ont emmené d’autres personnes !?! J’ai déjà vu ce M et ce L quelque part..., mais où ?

-Arrête de réfléchir et va prévenir le chef. Je vais les surveiller.

-D’accord ! »

Et une nuit tout entière passa avec la lumière habituelle de ces lieux noirs depuis toujours.

Le lendemain : « -Aaaaaahm... J’ai bien dormi moi.

-Parle pour toi frérot, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. J’ai l’impression qu’on nous observe.

-Si je ne te connaissais pas bien, je te prendrais pour un fou Luigi, mais là... C’est l’intuition du peureux ?

-Hahaha... Très drôle...

-Hum ? Que se passe-t-il ici, demanda Goombella, à moitié endormie ?

-C’est juste que Luigi a l’impression...

-Je n’ai pas l’impression, je suis persuadé qu’on nous observe !

-Euh, ce n’est pas ce que tu m’as dit frérot...

-Je sais mais j’ai vu une lumière par là-bas ! »

En effet, à quelques mètres de là : « -Imbécile, on n’allume pas une lampe quand on observe des gens dans le noir !

-Roh, ça va. Ils n’ont sûrement rien vu.

-Je n’en serai pas si sûr à ta place, on dirait qu’ils viennent par ici !

-Merdeuh, Bon ben... Et si on se cachait ? »

Pendant ce temps-là...

« -Et moi je persiste à dire que j’ai vu quelque chose !

-Mais oui, je te crois mais il n’y a rien, répliqua Mario

-On devrait peut-être retourner vers le portail voir si la tempête est passée, non ?

-Moi je te suis, Goombella. Je pense que Luigi va rester un peu pour vérifier que rien ne se cache ici.

-Tu commences à t’apercevoir qu’on nous observe, demanda alors Luigi, à l’adresse de son frère?

-C’est vrai qu’il y a une drôle d’ambiance ici...

-Euh, les garçons. Je vais réveiller prof. Il est le mieux placé pour observer les détails d’un endroit noir.

-Attend Goombella, j’ai entendu un petit bruit ! Allume un peu par ici ! »

Sans hésitation, la goomba se retourna et mit en marche sa lampe frontale.

Quand ils furent habitués à la lumière de la lampe, ils poussèrent tous un cri !

À un endroit non loin de là : « -Crotte, ils l’ont vu ! Je dois avertir le patron sans me faire voir... Je sais, par là ! »

Et l’ombre disparut sans bruit...

Chapitre 3: Un Snifit bien prétentieux:

Spoiler :

« Un snifit ! J’en étais sûr !! Wart va envahir le royaume !!! »

Les deux frères et la Goomba se sont retrouvés face à un snifit au masque gris foncé et à la tunique bleue marine, ce qui semblait le camoufler un maximum dans ces lieux sombres que sont les sous-sols du royaume Champignon.

« - Luigi, calme toi sinon…

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!

- Que se passe-t-il ici, demanda Goomstein ?

- Il se passe qu’on était observé par ce snifit, répondit Goombella.

- S’il vous plaît, ne m’appelez pas "un snifit", appelez moi Snifiot…

- Tais-toi, toi !

- Attendez, il peut peut-être nous dire pour qui il travaille, proposa Mario.

- Mais pour Wart bien sûr !!!

- Luigi, je t’ai déjà demandé de te calmer !

- D’accord Mario…

- Mario ? Luigi ? Mais… Incroyable, s’écria Snifiot !

- Qu’y a-t-il, le snifit ?

- Je vous ai déjà demandé de m’appeler par mon nom, rétorqua le snifit.

- Bon… Qu’y a-t-il, Mr. Snifiot ?

- J’étais sûr d’avoir déjà entendu parler de vous !

- Parce qu’on a sauvé le royaume de Subcon ?

- Non ! C’est mon chef qui vous connaît !

- Ton chef ?

- Oui mon chef !

- Et qui est ton chef ?

- Je ne sais pas son nom, on ne l’appelle jamais autrement que chef…

- Ne mens pas !

- Mais je ne mens pas ! Si vous voulez, je peux éventuellement vous mener à lui, proposa l’espion. »
Sans vraiment attendre de réponse en retour, il se retourna et démarra, non sans montrer le besoin d’être suivi par la troupe, le professeur fermant la marche.

À environ un kilomètre de grottes plus loin de l’endroit où Mario et ses amis s’étaient arrêtés, Snifiot sembla pendant un moment prêt à se retourner pour attaquer nos amis.

Il n’attaqua cependant pas le groupe en redémarrant dix secondes plus tard.

« Dites monsieur le, euh… Monsieur Snifiot, c’est encore loin, demanda la goomba car ses pieds commençaient à lui faire mal ?

- Ben, en fait… Je crois que nous nous sommes perdus…

- QUOI ? Mais on va crever de faim alors, s’écria Mario, dont le ventre commençait à gargouiller !

- Tiens Mario, j’avais pris des pâtes aux champignons pour si on avait faim. Tu peux les manger.

- Dis donc Mario, tu nous as caché que tu étais gourmand, dit Goombella.

- Caché que j’étais gourmand ? Mais non, ça se voit bien à mon ventre… Et puis je ne suis pas gourmand, c’est juste que j’aime les bonnes choses… Et puis je trouve qu’on ne mange pas assez dans mes aventures…

- Mais oui, c’est ça, allez, mange tes pâtes maintenant… Donc, Snifiot, vous avez réussi à vous tromper de chemin ?

- Mais non, ce sont vos pas qui m’ont déconcentré et je…

- Nos pas t’ont déconcentré ? Ah, ça c’est la meilleure, s’écria Goomstein.

- Ben oui, mais à cause du bruit de vos pas je n’arrivais pas à me rappeler du quel côté il fallait partir…

- Dites tout de suite que nous sommes de trop !

- Calmez-vous professeur, s’il vous plaît.

- Mais ce SNIFIT est bien trop prétentieux à mon goût…

- Quoi ? Qu’ai-je crû ouïr ? Moi prétentieux ? Vous ne vous êtes pas regardé mon pauvre vieux.

- Permettez… »

C’est alors que Goomstein chargea vers Snifiot.

S’engagea alors un combat entre Snifiot et le professeur qui dura environ 5 minutes quand soudain.

« Arrêtez ! »

Le cri avait retenti dans le passage et figea par la même occasion les deux combattants.

« Goomstein, veuillez immédiatement lâcher Snifiot ! »

Après avoir relâché le pauvre snifit qui avait un œil au beurre noir, le professeur se mit à chercher dans toutes les directions d’où pouvait provenir le cri.

« Espèce de lâche ! Montrez-vous si vous êtes un… euh… Un homme ! »

C’est alors que, de l’endroit le plus sombre du lieu, surgirent un shy guy, un paragoomba, deux koopas, trois boos et quelques hériss.

« Je suis là ! »

C’est alors que le groupe leva les yeux et découvrirent celui qui se faisait nommer le chef !

Et le chapitre 4 qui n'a pas pu être dévoilé sur Nintendofic:
Dr. Goom et Mr. Koop:

Spoiler :

Le groupe avait le regard posé sur un koopa assez haut perché. Ce dernier, non content de la différence que lui offrait la couleur de sa carapace, il arborait un collier en forme de montre stop ainsi qu’un chapeau gris, sans bien sûr oublier la moustache qu’il avait sur le bout du museau.

« -Mais, c’est…

-KOLORADO, cria le professeur en fulminant de plus belle.

-Je savais bien que je ne pouvais pas tomber sur n’importe quel goomba.

-Euh, je ne voudrais pas interrompre ces ’’vibrantes’’ retrouvailles mais je crains d’avoir encore raté quelque chose d’important.

-Ne t’inquiètes pas Luigi, pour une fois, je ne comprends pas non plus, continua son frère.

-IL Y A QUE ’’QUI VOLE UN FRUIT, SE FAIT VOLER PAR UN YOSHI’’ !!!

-Et voilà, ça y est, je suis complètement largué… J’en ai marre de ne jamais être au courant de rien… Et d’abord, ça veut dire quoi ça ?

-Je te rappelle, mon cher et détesté Goomstein que je peux te retourner le compliment.

-Je ne vois pas où tu veux en venir…

-DITES, EST-CE QUE QUELQU’UN PEUT ME REPONDRE, s’écria Luigi, encore en colère d’avoir été mis sur le côté.

-Le Yoshi Nintaindeau a créé cette phrase philosophique un jour où un Fuzzy voulait lui voler un fruit. Par après, nous, les Champignaciens, utilisons cette phrase pour dire que le vol n’apporte rien, expliqua donc Goombella.

-Ce qu’un certain KOOPA oublie trop souvent !

-Qui me volait mes champignons à la cantine, hein ?

-Ce n’était pas une raison pour…

-Pour te piquer ta popularité ? Mais je ne t’ai jamais volé ça ! Tout le monde sait que les Koopas sont toujours fier pour leur patrie et c’est cela qui m’a donné TA popularité.

-Peut-être, mais MOI, j’ai retourné ma veste contre la violence MOI !

-OH, C’EST FINI CES GAMINERIES LA ? JE VOUS RAPPELLE QU’ON EST PAS ICI POUR SE BATTRE SUR DE VIEILLES HISTOIRES ET LA, JE CROIS QUE QUASI TOUT LE MONDE A DECROCHE.

-Merci Snifiot, dit Mario, ça fait du bien un peu de calme… »

Les deux anciens ennemis se regardèrent bouche bée. En effet, le cri de Snifiot les avait choqués profondément. Malheureusement, l’intervention ne fit qu’envenimer la situation car on allait avoir maintenant non pas une, non pas deux, mais bien 3 personnes en colère extrême. En effet, Luigi commençait à fulminer : il déteste quand il ne comprend plus rien de ce qui se passe. Ainsi, après 3 bonnes minutes d’altercation entre les deux anciens :

« -J’EN AI MARRE! »

Le cri puissant et perçant de Luigi eu raison de la dispute de Goomstein et de Kolorado. Notre Goomba parti se cacher derrière un rocher, et il fut suivi par Mario et Goombella, tandis que Kolorado et ses sbires, à part certains boos qui disparurent, ne connaissant pas la puissance de la colère de Luigi, se demandaient ce qui se passait. Comme par enchantement, un bob-omb apparu dans la main du colérique, et ce dernier, sur un coup de tête et avant de fondre en larmes, lança le bob-omb plus ou moins au centre de la salle. Il explosa d’un coup et fit trembler les murs, s’effondrer une partie du plafond et créa un gros trou au centre. Ce qui s’ensuivit est un moment assez flou car riche en événements rapides tels qu’une partie de voûte qui tombe, une panique générale et pour finir, la « condamnation » accidentelle du tunnel.

« -AH BEN LA, BRAVO LUIGI !

-Excuse-moi Mario, ça a été plus fort que moi.

-Ok, ça ira pour cette fois-ci aussi, mais j’espère que personne n’est blessé. GOOMBELLA, GOOMSTEIN, KOLORADO, IL Y A QUELQU’UN ?

-Kof, kof… Moi, je suis là ! Mais je ne sais pas où sont mes lunettes…

-Je les ai professeur !

-Merci, euh… Qui es-tu déjà ?

-Mon nom est Snifiot.

-Merci, Snifiot. Et désolé pour cet œil au beurre noir…

-GOOMBELLA ? KOLORADO ? »

Soudain, notre chère goomba et l’explorateur apparurent.

« -Merci Booblegum. Heureusement que tu es toujours aussi collant.

-Je sais… C’est une seconde nature chez-moi. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs…

-C’est bon, tu peux me lâcher maintenant.

-Oh, pardonnez-moi ma chère…

-Booblegum ?

-Oui, mademoiselle goomba ?

-Non, rien… C’est juste que ton nom… Enfin bref, oublie ça.

-Ouf, vous êtes sains et saufs. Mais a-t-on des nouvelles des autres ?

-Je crois qu’ils sont de l’autre côté de cet éboulement. J’ai l’impression d’entendre des coups sur la roche.

-Et si on faisait une trêve, cher confrère ?

-Je ne suis pas vôtre confrère, mais soit, sauvons ces malheureux.

-Je veux bien mais je ne vois pas comment on va s’y prendre…

-C’est là que tu interviens avec ton frère, Luigi.

-Comment ça, se demandèrent les frères en chœur.

-Il se fait que le hasard fait bien les choses, et que j’ai sûr moi des costumes marteau.

-Bon, ça me semble plausible de casser ce mur avec un marteau ou deux… Tu es prêt Luigi ?

-Attendez ! Il ne faut pas attaquer cet éboulis n’importe comment, sinon ça risque de refaire s’écrouler le plafond.

-Bien vu Kolorado… Même si j’aurais bien pu trouver ça moi-même… Tu commences à …

-Il me semblait que l’on avait commencé une trêve.

-Zut, en effet… En tout cas moi je dis que par le côté des morceaux de roche, ça me semble faire l’affaire, sinon, c’est bon, je me tais… »

Et les deux frères se mirent à creuser à coups de marteaux. Un trou se forma sur le côté et le trou s’agrandit jusqu’à devenir un mini-tunnel, grâce à l’huile de coude de nos chers plombiers. Ainsi furent secourus les pauvres sbires de Kolorado. Seulement, il restait encore à faire.

« -Bon, ce n’est pas qu’on s’ennuie mais là, il faudrait peut-être y aller.

-MA découverte ne peut plus attendre.

-Oh là, professeur. Pas si vite ! Je veux vous proposer un marché. Un 50-50 sur les trésors, ça vous va ?

-On aura tout vu, même du marchandage 40 pieds sous terre…

-Kolorado, il y a un problème. C’est que je préfère que seules 2 personnes passent le portail et SEULEMENT 2…

-Quoi, tu ne veux pas dire que…

-Si, j’ai choisis Mario et Luigi !

-Mais pourquoi on ne pourrait pas tous y aller, demanda alors Snifiot, qui n’avait pourtant pas l’air d’écouter la conversation.

-Je vais vous dire pourquoi : Quand nous sommes arrivés près du portail, Mario est passé en trombe à travers et il est sorti complétement frigorifié et trempé. On ne connaît pas l’endroit qu’on peut atteindre par ce portail. C’est pourquoi je pense que les seules personnes qui pourraient visiter ce nouveau monde sont les frères Mario. Voici ce que j’ai découvert sur le portail… »

Et les explications de Goomstein furent longues. De plus en plus intrigués par cette histoire, l’assemblée se rapprocha et ayant remarqué cela, le professeur relut les passages du journal intime qu’il avait découvert une semaine plus tôt. Pendant ce temps-là, Goombella et les frères, connaissant déjà cette partie de l’histoire, entreprirent de retrouver le chemin vers le portail.

« -Je crois bien que l’on venait de par ce côté-là.

-Non, je ne suis pas d’accord, on venait d’en face.

-J’approuve ce qu’a dit Luigi.

-Mais je suis sûr qu’ici, on a tourné, réaffirmât Mario.

-J’ai la preuve que nous venons d’en face !

-Ah, et quelle est cette preuve ?

-Regarde ce que tu as laissé par terre.

-Oh, un champignon… Qu’attendons-nous pour repartir ? »

Et c'est donc à suivre.

[Goupi]

(eh,Maritintin,on a eu la même idée)

C'est Maritin, Ma-ri-tin

Bon sinon, pour ta fic...
Ben, c'est que le prologue, donc je vois pas trop quoi juger... Un point positif, ça a un minimum de style, c'est à dire que j'aime bien le vocabulaire employé (bon, c'est vrai que ça fait un peu cliché mais enfin...).
Pas non plus de problèmes sur l'orthographe, ou alors rien de grave. Le seul truc qu'on peut reprocher, c'est qu'il faudrait que tu mettes des espaces après les virgules, comme ça, ça fait moins brouillon et on a plus envie de te lire.
Sérieusement, pour après je ne sais pas, il faut que tu nous en montres plus. Autant ça peut être un chef-d'oeuvre, autant tu peux complétement bacler le fond et nous faire un truc totalement cliché et pas interressant. En tout cas, bonne continuation.

[Maritin]

Je sais pas pourquoi mais j'ai envie de hurler ALERTE AU PLAGIAT!
Marioshi a déjà écrit presque exactement la même chose dans sa fic "La légende des Yoshi" qui était sur Nintedofic mais avec un Yoshi vert donc voilà pourquoi je sors cette alerte.

[Light the Fab'Dragon]

Plagiat ou pas, cette fic est assez mauvaise.
C'est vraiment trop court, y'a beaucoup de faute, l'action s'enchaîne trop vite et avec très peu de compréhension : pour faire simple, tout est à revoir.
Je redonne juste un lien vers des tutos. Il est possible que le lien plante.

[seolpicl]

Je sais pas pourquoi mais j'ai envie de hurler ALERTE AU PLAGIAT!
Marioshi a déjà écrit presque exactement la même chose dans sa fic "La légende des Yoshi" qui était sur Nintedofic mais avec un Yoshi vert donc voilà pourquoi je sors cette alerte.

Ah, c'est pour ça que ça me disait quelque chose.
Mais il s'est peut-être inspiré que du début et pourrait faire quelque chose de très bon par la suite, avec de bonnes critiques.

[???]

Tu me signaleras les fautes,alors.

Il a dit toutes tes fautes. Ça va toi avec ta mauvaise fois a deux sous.

[Light the Fab'Dragon]

Il parlait plus des fautes d'ortho.
Et si tu veux voir tes fautes, tu te relis et tu les trouveras.
Et si t'es trop fainéant pour ça, t'as qu'à utiliser Word.

[seolpicl]

Ça va toi avec ta mauvaise fois a deux sous.

Tu parle a moi ?

[Goupi]

Non, il parlait à Eudi, ce qui est logique puisqu'il l'avait cité précedemment.